Chez petit-Guy

14 septembre 2019

Samedi 14 septembre

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vi3le23mai

Bonjour les amis bon samedi bon congé, ici c’est la flotte. Petit blogue modeste aujourd’hui je passe vite pas de travail, mais une journée bien chargée  on se reparle à plus tard merci de votre visite bye.

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LYON ET RÉGION

Lyon : Le Mémorial de la Shoah, érigé sur la place Carnot, s’adressera à “la génération de demain”

Photo d'illustration - LyonMag

C’est dans les salons bondés de l’Hôtel de ville qu’avait lieu ce vendredi la conférence de presse de lancement du projet de Mémorial de la Shoah à Lyon. L’occasion pour André Soulier, avocat et président du comité de parrainage pour l’édification du Mémorial, de lancer un appel à ceux « qui souhaitent contribuer, selon leur conscience et leurs moyens, au financement et à la mise en œuvre de cette initiative mémorielle« .

« Le projet de Mémorial de la Shoah à Lyon représente quelque chose d’essentiel« . C’est sur ces mots que Gérard Collomb, maire de Lyon, a débuté la conférence. Il s’agit même d’une « évidence« , ajoute l’édile de la ville désignée par le Général de Gaulle comme la capitale de la résistance : pour la cité qui a été « le foyer d’une effroyable répression par la Gestapo et Klaus Barbie, [tout] ces faits donnent leur sens à un Mémorial« , se justifie-t-il. « Le procès de Barbie a constitué un véritable déclencheur pour la ville. Elle a décidé d’affronter tout son passé« , poursuit-il.

Ce projet de Mémorial se trouve dans les tuyaux depuis plus d’une dizaine d’années. En effet, il y a 13 ans, Benjamin Orenstein, doyen lyonnais des rescapés de la Shoah, avait adressé une demande à Gérard Collomb en ce sens. Le projet n’avait pas pu être concrétisé pour diverses raisons. Désormais, grâce au travail conjoint de Jean-Olivier Viout, procureur général honoraire de Lyon et président de l’association pour l’édification d’un Mémorial de la Shoah à Lyon, et de Jean-Dominique Durand, adjoint au maire en charge de la mémoire, Benjamin Orenstein, âgé de 93 ans, espère inaugurer ce Mémorial qui revêt chez lui une importance toute particulière, parce que sinon « qu’est-ce qui restera après nous [anciens déportés NDLR] ?« .

« Les morts dépendent entièrement de notre fidélité« , a déclaré de son côté Jean-Claude Nerson, président de l’Amicale des anciens déportés d’Auschwitz Birkenau et des camps de Haute Silésie, citant Vladimir Jankélévitch pour justifier le projet de monument dédié aux victimes de l’Holocauste.

« Le Mémorial s’érigera telle une vigie à l’adresse des passants, générations futures contre les populismes qui constituent le marche pied d’une éventuelle peste brune« , prévient Nicole Bornstein, présidente du CRIF Auvergne Rhône-Alpes. D’autant plus aujourd’hui, « dans un monde parcouru à nouveau de frissons, quand certains souvenirs paraissent s’effacer, volontairement ou non de bien des mémoires, il est indispensable et urgent de montrer et de raconter une tragédie moderne, sans précédent par son ampleur : la tentative d’élimination de tout un peuple« .

De plus, pour Jean-Olivier Viout, il ne s’agit « pas d’un Mémorial d’une communauté, mais d’un Mémorial porté par l’ensemble de la collectivité lyonnaise« . Et d’ajouter que « ce monument n’est pas destiné à rappeler à ceux qui le savent déjà ce qu’est la Shoah, […] il est destiné à rappeler à la génération d’aujourd’hui et surtout à la génération de demain car les derniers survivants disparaissent« .

Quant au Mémorial en lui-même, il sera édifié place Carnot, au centre de la ville et à proximité de la gare de Perrache. Gare qui, il y a 74 ans, voyait ses trains chargés d’innocents en direction des camps de la mort.

« Le monument devra être remarquable« , insiste Jean Levy, délégué régional de l’association des Fils et Filles des déportés juifs de France. « On ne peut pas bâcler ce genre de projet« , abonde en ce sens le procureur général honoraire de Lyon. Pour cette raison, un « grand concours national » sera lancé et le choix de l’artiste s’effectuera par un jury. Également, le lieu précis du monument sur la place Carnot sera déterminé suite à des discussions avec la mairie. Une chose est sûre, le nombre de victimes sera rappelé, à savoir 6 millions de Juifs morts dans les camps nazis, dont 1,5 millions d’enfants. Un hommage particulier sera également rendu aux 6200 victimes originaires de la région. Le Mémorial sera « érigé le plus tôt possible dès que les fonds seront arrivés« , déclare Jean Soulier.

Pour cela, un comité de parrainage a été créé. Au 12 septembre, il est fort d’une cinquantaine de membres, parmi lesquels Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique lyonnais, Gérard Collomb, Caroline Garcia, joueuse de tennis, Alain Jakubowicz, avocat ou encore Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. La liste n’est que provisoire et l’association espère la voir s’agrandir.

En outre, les correspondances et dons sont à adresser à l’Association pour l’édification à Lyon d’un Mémorial de la Shoah – Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation – 14, avenue Berthelot, 69007 Lyon. Pour information, l’association établira un reçu dans le cadre de chaque don en vue de la déduction fiscale.

Gérard Collomb, dont le soutien indéfectible au projet a été salué par l’ensemble des intervenants, est en tous les cas « certain que la démarche recueillera une large adhésion des Lyonnais« , parce que « cela concerne chacun et chacune d’entre nous. C’est ce qui fonde le principe même de notre République« .

Lyon : il s’attache aux grilles de la préfecture
Les faits se sont déroulés ce mercredi, en fin de journée, cours de la Liberté dans le 3e arrondissement de Lyon.
Pour tenter de voir le préfet Pascal Mailhos, un Villeurbannais âgé de 27 ans s’est attaché aux grilles de la préfecture du Rhône. D’après un témoin, l’individu qui souhaitait obtenir des logements pour les enfants sans toit a utilisé un cadenas de vélo pour s’amarrer aux imposantes grilles. Il tenait des lames de rasoir et menaçait de se trancher la gorge si les autorités n’accédaient pas à sa demande. Les négociations se révélant vaines, la BAC a utilisé le pistolet à impulsion électrique à deux reprises.
Un périmètre de sécurité a été mis en place autour de l’homme simplement vêtu d’un caleçon et d’une cagoule. Il a finalement été libéré grâce à l’action de la police et des sapeurs-pompiers, qui ont utilisé une pince hydrolique.
Le Villeurbannais a été transporté à l’hôpital Édouard Herriot pour un examen psychiatrique.

Une lanceuse d’alerte devant la Cour d’appel de Lyon

Laura Pfeiffer, inspectrice du travail opérant au sein de l’usine Tefal de Rumilly (Haute-Savoie), fait une nouvelle fois face à la justice dans le cadre de l’affaire Tefal. Celle qui est jugée à la Cour d’appel de Lyon bénéficie de la nouvelle loi Sapin II plus protectrice envers les lanceurs d’alerte.
Tout a commencé en 2013 lorsqu’un salarié de Tefal lui transmet une série de courriels de la direction de l’usine située en Haute-Savoie, mails qui attesteraient d’une collusion entre la société et le supérieur hiérarchique de la fonctionnaire, dans le but d’entraver son action. Après qu’elle ait saisi le Conseil national de l’Inspection du travail, Tefal avait déposé une plainte contre X au motif d’une « introduction frauduleuse dans un système de traitement automatisé de données ».
En décembre 2015, poursuivie pour « recel de violation du secret des correspondances et violation du secret professionnel », Laura Pfeiffer avait été condamnée avec sursis à des peines d’amende en première instance à Chambéry. Jugement qui avait ensuite été confirmé en appel, en novembre 2016. Néanmoins, l’affaire a été élevée jusque devant la Cour de cassation qui, en octobre 2018, a cassé l’arrêt d’appel et renvoyé les parties devant la Cour d’appel de Lyon. Et ce sur la base de la nouvelle loi Sapin II du 9 décembre 2016 qui porte sur les lanceurs d’alerte, et leur assurant une protection accrue.
En effet, à l’article 6 de la loi précitée est proposée une définition assez large du lanceur d’alerte, qui « est une personne physique qui révèle ou signale, de manière désintéressée et de bonne foi, un crime ou un délit, une violation grave et manifeste […] de la loi ou du règlement, ou une menace ou un préjudice graves pour l’intérêt général, dont elle a eu personnellement connaissance ».
Libre appréciation est ainsi laissée aux juges du fond, dont la réponse est attendue pour le 24 octobre prochain.
Villeurbanne : prison ferme pour le chauffard qui avait mortellement renversé une octogénaire
Le 10 juin dernier, un accident mortel avait endeuillé Villeurbanne.
Une dame âgée de 86 ans, qui traversait sur un passage piéton de l’avenue Salengroa, avait été violemment percuté par un automobiliste qui venait de griller un feu rouge.
Le chauffard, après avoir pris la fuite, s’était rendu au commissariat peu après les faits. Placé depuis en détention provisoire, il a été jugé ce mercredi à Lyon.
Sans permis de conduire ni assurance, déjà condamné vingt-cinq fois dont quatre fois pour conduite sans permis, le conducteur âgé de 34 ans a écopé de 3 ans de prison. Le parquet avait requis 5 ans dont un avec sursis.
FRANCE
P. BALKANY – Condamné !
AFFAIRE BENALLA – Un paparazzi entendu sur a disparitio du coffre-fort !
ANGERS – Une jeune détenu se suicide dans sa cellule !

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2 Responses to “Samedi 14 septembre”

  1. 1
    admin Says:

    Bon samedi la pluie mur à mur il y aurait un grave accident ce matin mais je ne suis pas là aujourd’hui et ce serait près d’ici arrivé tantôt. OK coures à faire.

  2. 2
    Monique Says:

    Coucou.
    Bon dodo à tous !

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