Jeudi 198e jour de l’année
Vous pouvez lire et laisser des commentaires au bas de cette page sur comments
Bonjour à tous bon mercredi toujours frais ici ça va vite l’été qui est tout chambardé avec la Covid. Je me demande si un jour nous reviendrons à une vie proche d’avant c’est peu probable. Je file du boulot merci de votre visite à plus tard bye!
Cliquez le camion
Météo Médias
Cliquez le soleil
Prénom du jour
Carmen
Journée Mondiale
Cliquez Ici Aire De Jeux
Le 15 juillet Cliquez Ici
Claude Dubois
– Un million de gens
Journée Mondiale
France
La soirée du 14 juillet a été marquée par de multiples incidents dans la banlieue lyonnaise, mais aussi dans le centre de la capitale des Gaules. De nombreux incendies volontaires ont été allumés une bonne partie de la nuit sur de nombreuses communes.
Parfois, les feux ont failli dégénérer comme sur le quai Pierre Scize, entre les 5e et 9e arrondissements, où 6 véhicules sont partis en fumée. Un immeuble, désormais noirci par les flammes, avait du être évacué vers 1h30 du matin. A Lyon, les policiers ont été obligés de se déployer dans les 2, 3, 7, 8 et 9 arrondissements. Des affrontements entre bandes et forces de l’ordre ont également été constatés à Vaise, ou sur d’autres communes notamment à Bron et Vénissieux. Selon nos informations, le commissariat de police du 3/6, place Djebraïl Bahadourian, a été visé par des tirs de mortiers d’artifices. Le poste de la rue Marietton, dans le 9e, a lui été la cible de jets de projectiles, des impacts sont visibles sur les vitres.
Les violences urbaines, qui se sont calmées peu après 2h du matin, ont fait deux blessés légers dans les rangs des policiers. Dans le même temps, 7 interpellations ont été menées, comme la nuit précédente. Un triste bilan qui ne serait néanmoins pas plus lourd que celui de l’année dernière d’après certaines sources.
Mise à jour ce mercredi à 17h30 :
Près de trois heures après la publication de cet article, le maire LR du 2e arrondissement, a régi sur Twitter. Il déplore des « dégradations et nuisances inacceptables à Lyon mardi et lundi soir à l’occasion de la Fête Nationale ». L’élu indique s’être rendu « aux côtés de la police municipale une partie de la nuit de lundi à mardi » et ajoute « avoir décidé de saisir le ministre de l’intérieur puisque les habitants de la Presqu’Île n’en peuvent plus ».
Lyon : une pétition pour la prise en compte de l’urgence sécuritaire
C’est un message alarmiste, une fois de plus, qui est transmis aux autorités.
Une pétition en ligne a récemment vu le jour à Lyon « pour que l’urgence sécuritaire dans Lyon soit prise en compte » Sur la page web dédiée, on peut lire que « l’insécurité ne fait que monter dans l’ensemble de notre ville de Lyon : agressions, coups de couteau, vols, violence, rodéos, explosions, bagarres, trafics de drogue, occupations de l’espace public, nuisances sonores… Tout cela ne fait qu’empirer ». Des « incivilités du quotidien » comme l’a évoqué le nouveau Premier ministre Jean Castex ce mercredi après-midi lors de son discours de politique générale. Une prise de parole au lendemain d’une nouvelle nuit marquée par la violence dans l’agglomération lyonnaise.
Selon Le Progrès, cette pétition a été créée par un ancien conseiller LR du 2e arrondissement, 600 personnes auraient déjà apporté leur soutien pour « demander à Grégory Doucet, la présentation aux lyonnais d’un vrai plan d’urgence pour mettre fin à l’insécurité qui explose dans les rues de Lyon ». La pétition reproche par ailleurs au maire de Lyon de n’avoir eu « aucun mot sur la nécessité de fermeté ou de lutte contre l’insécurité » après l’agression de policiers municipaux durant le week-end du 4-5 juillet.
Les gérants de discothèques souhaitaient rouvrir dès le 10 juillet, mais le gouvernement n’envisage pas le retour des clients avant, au moins, le mois de septembre. La colère gronde dans le monde des boîtes de nuit, alors que les fêtes illégales se multiplient et que certains bars s’improvisent discothèques.
« Notre métier on n’a plus le droit de le faire »
Thierry Fontaine, président de la branche nuit de l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH) pour le Rhône et la France et propriétaire de deux discothèques dans la région lyonnaise, a vivement réagi : « Aujourd’hui, notre métier on n’a plus le droit de le faire, on a été remplacés par des fêtes sauvages ». « La règle c’est qu’il n’y a pas de règle », lâche-t-il même.
La plus haute juridiction administrative se justifie à l’aide de deux fondements.
Or, le président de l’UMIH Nuit dévoile clairement le dispositif prévu en cas de réouverture : « Téléchargement de l’application Covid pour l’ensemble des clients qui rentreraient. Pour les récalcitrants, prise du nom, prénom et du numéro de téléphone. Gestes barrières et gel hydroalcoolique, masques quand on se déplace ».
Ventilations : « 100% de l’air est neuf toutes les 8 à 10 min »
Quant au caractère clos des boîtes de nuit, il réplique, stupéfait : « On a des ventilations redoutables. Ils [Laurent Pietraszewski, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, et ses conseillers NDLR] se sont rendu compte que nos dires étaient vrais. 100 % de l’air est neuf toutes les 8 à 10 min. »
Et concernant la proposition des acteurs du secteur de supprimer les pistes de danse : « eu égard notamment aux caractéristiques des lieux en cause, qui ne sont pas directement ouverts sur l’espace public, et à leurs horaires d’ouverture étendus, il n’apparaît pas […] que puisse être garantie la possibilité d’assurer, par des contrôles effectifs, le respect d’une telle limitation d’activité, qui procéderait d’un simple engagement des exploitants ».
« Supprimer une piste de danse, nous ce qu’on propose c’est peut-être l’avenir de la boîte de nuit », explique-t-il, évoquant les carrés VIP dans lesquels les clients dansent.
L’impossibilité d’effectuer des contrôles, du fait que les établissements ne « sont pas directement ouverts sur l’espace public », justifiant ainsi, pour la juridiction, la non-réouverture des discothèques, surprend Thierry Fontaine. « S’ils appliquent cette règle, il faut qu’ils l’appliquent sur tout : pas de moyen de faire plein de choses, avant d’ajouter non sans un brin d’ironie, ça veut dire qu’on va être fermé à vie parce qu’on n’a pas de fenêtres ? ».
« On est tombé d’accord » lors d’une réunion ministérielle
Thierry Fontaine n’est pour autant pas abattu. En effet, rien n’est pour l’instant joué. Le 2 juillet dernier, lors d’une réunion ministérielle avec une conseillère à la santé et deux médecins spécialisés dans la Covid-19, « on a montré point par point ce qu’on pouvait proposer. On est tombé d’accord. Mais ils nous ont bien dit ‘nous ne sommes pas les décisionnaires. C’est le conseil de défense’. Or, le remaniement a eu lieu le lendemain et le conseil de défense a été annulé. On n’a plus d’interlocuteur. […] Lundi soir, on décide [d’] interpeller Macron devant le Grand Palais [à Paris NDLR]. Mais il n’était finalement pas présent. On a réussi à avoir un dialogue avec le conseil spécial à la santé du Premier ministre, Grégory Emery. On va lui renvoyer les protocoles ».
Selon Thierry Fontaine, Grégory Emery n’a jusqu’à aujourd’hui jamais reçu les protocoles, documents qui ont pourtant fait l’objet de nombreuses discussions avec des ministres, secrétaires d’Etat et conseillers.
« On ne peut pas dire [que la discussion] soit ouverte parce qu’on n’a pas d’interlocuteur à part Grégory Emery. On ne peut pas fermer un métier sur une idée qu’on s’en fait. C’est ça qu’on reproche aujourd’hui. On a même proposé de faire un test grandeur nature », déplore-t-il.
« Sur la région lyonnaise, ça va être une hécatombe »
Le propriétaire du Loft Club, dans le 7e, et de The Maze, situé à Limonest, s’inquiète pour les acteurs du secteur : « beaucoup sont désespérés, vont aller à la casse. Les charges s’accumulent. […] Sur la région lyonnaise, ça va être une hécatombe ».
Il explique sa situation : « J’ai eu 1250 euros [d’aide exceptionnelle de l’Etat]. De mars à juillet, j’ai eu 120 000 euros de loyers [à payer]. Le manque à gagner est colossal : sur une structure, je fais 1,6 million à l’année de chiffre d’affaires. Pour les mois de mars, avril, mai, juin : entre 150 000 et 200 000 euros hors taxes par mois en chiffre d’affaires. Moi je n’ai pas eu de salaire depuis mars ».
Malgré tout, « ce n’est pas que du financier. On est tout à fait en capacité d’améliorer les règles sanitaires. Je sais qu’on peut faire mieux que ce qui est fait actuellement [en référence aux fêtes illégales NDLR] car on a l’expertise de nos métiers. C’est simple : juste tracer les gens, [respecter] les mesures barrières. »
L’enjeu de santé public mis en avant
L’enjeu de santé public est également mis en avant. « Nous on régulait la consommation d’alcool, on interdisait la consommation de drogue. Le CHRD [secteur cafés-hôtels-restaurants-discothèques] ne distribue que 8 % de l’alcool en France. Le problème de l’alcoolisation est ailleurs, pas dans les lieux comme les nôtres. On est plutôt sur la prévention », insiste-t-il. « Comment on va gérer la jeunesse après ? Une fois que les discothèques auront disparu, que va-t-on faire d’eux ? », s’inquiète le professionnel du secteur.
A ce jour, il n’y a « pas de perspective de réouverture. En septembre-octobre, tout le monde est en train d’écrire » que l’épidémie va repartir.
Néanmoins, une lueur d’espoir existe dans l’hypothèse où la situation sanitaire s’améliorerait. Le président de l’UMIH Nuit attend avec impatience la décision du Conseil d’Etat pour le recours déposé par son syndicat, avec « un autre angle d’attaque ». Elle devrait être rendue ce lundi ou mardi.
VILLEURBANNE : IL FRAPPE DES PASSANTS AVEC UNE CEINTURE ET LES MENACE DE MORT
Mercredi 15 Juillet – 11:56
Cet habitant de Feyzin et déjà bien connu des services de police (12 antécédents judiciaires), a de nouveau fait parler de lui dimanche dernier.
En fin de matinée, sur le cours Émile Zola, à Villeurbanne, ce trentenaire s’est servi de sa ceinture pour frapper les passants, tout en proférant des menaces de mort, sans aucune raison. L’une des victimes, blessée, se voyait prescrire une ITT de 2 jours.
Interpellé en flagrant délit à 11h10, l’individu a été conduit à HEH – Pavillon N pour examen. Il a déclaré qu’il ne se souvenait pas des faits, « ayant absorbé une substance inconnue donnée par une de ses connaissances », selon la police.
Présenté au parquet ce mardi, il a été laissé libre, avec renvoi au 18 août.
AIN / RHÔNE : UN HOMME MEURT NOYÉ AU PARC DE MIRIBEL-JONAGE
Mercredi 15 Juillet – 06:25
Le drame s’est produit sur une plage surveillée mais les secours n’ont pas pu réanimer la victime.
C’est la première noyade au grand parc de Miribel-Jonage depuis la réouverture des plages au public .
Un jeune homme de 25 ans s’est noyé ce mardi après-midi dans des circonstances encore à déterminer.
Les employés du parc ont pu ramener son corps sur la rive mais le SMUR et les sapeurs-pompiers n’ont pas pu le réanimer.
L’an dernier, 4 personnes s’étaient noyées à Miribel-Jonage.
LYON : IL BRAQUE UN SALON DE COIFFURE… MUNI D’UN MASQUE COVID
Mardi 14 Juillet – 19:43
Le suspect a finalement été appréhendé par la police.
Ce mardi après-midi cours Lafayette à Lyon, un homme de 18 ans muni d’une arme de poing a braqué un salon de coiffure.
D’après Le Progrès, il avait sur lui un masque, servant à l’origine à protéger du nouveau coronavirus.
Il a été placé en garde à vue.
Dans la nuit de dimanche à lundi, deux individus aux casiers judiciaires bien fournis ont été interpellés dans un immeuble du quai Saint-Antoine à Lyon.
Ils venaient de cambrioler une pizzeria de la rue Dubois. Ce Lyonnais de 24 ans (18 antécédents judiciaires) et ce Villeurbannais de 31 ans (33 antécédents) ont reconnu les faits lors de leur garde à vue. Le second nommé avait d’ailleurs une blessure à la main droite, résultant du vol par effraction. Ils ont expliqué aux enquêteurs avoir eu chaud cette nuit-là et s’être lancés à la recherche de boissons fraîches.
Après avoir été présenté au parquet ce mardi, le Lyonnais, qui était resté en dehors de la pizzeria pour faire le guet, a été laissé libre et sera jugé fin août. Quant au Villeurbannais, il a été écroué avant d’être jugé en comparution immédiate ce mercredi.
La scène a eu lieu ce samedi soir dans le centre commercial de Carré de Soie, à Vaulx-en-Velin.
Un Villeurbannais de 16 ans (16 antécédents judiciaires) et un Villeurbannais de 18 ans (6 antécédents judiciaires), ont tenté de voler le téléphone portable de deux personnes qui s’étaient réfugiées dans un café du centre commercial de Carré de Soie. Le personnel de l’établissement s’est alors interposé avant d’être frappé (3 jours d’ITT). Par hasard, dans le tramway, le duo avait retrouvé le directeur de l’établissement, le menaçant de mort et en le frappant légèrement.
Rapidement interpellés et placés en garde à vue, les deux mis en cause ont nié les faits. Les images de vidéosurveillance ont tout de même confirmé leurs agissements. Présentés au parquet ce lundi, le mineur a été écroué avec ouverture d’information tandis que le majeur a été écroué en attente de comparution ce mercredi.
SOUVENIRS
Par Joe
Voyage Grosse-Île
Bonjour,
Très beau soleil et pas trop chaud. C’est parfait !
Les voitures continuent à brûler à Lyon …
Coucou Sylvie si tu passes par là.
Et coucou aussi à Marco !
Bonne journée
juillet 16th, 2020 at 7 h 08 mincoucou Monique, Je passe en coupe de vent car je vais aider la soeur de mon ami Yvon qui demeure en résidence. Elle reçois un beau lit neuf et on vas lui monter tout ça.
28 la chaleur commence a revenir, bon vent par contre.
Bon jeudi à tous
juillet 16th, 2020 at 9 h 06 minJe suis aux recherches St-Agapit!
juillet 16th, 2020 at 16 h 44 mince n’ai pas pour demain qu’ils vont le retrouvé.
Le temps se couvre, pluie au menu en début de nuit.
a+
juillet 16th, 2020 at 19 h 30 min