Ce dimanche matin, les berges du Rhône dans le centre de Lyon ont été rouvertes aux piétons. L’accès avait été fermé après que le fleuve soit sorti de son lit suite aux précipitations causées par la tempête Eleanor. Les péniches et restaurants restent pour le moment fermés au public. « Les niveaux sur le Haut Rhône en aval de l’Ain sont maintenant durablement orientés à la baisse » annonçait ce matin le bulletin de Vigicrues, le site de surveillance des principaux cours d’eau en France. La navigation reste interdite aux plaisanciers entre Pierre-Bénite et Beaucaire, dans le Gard.

Le Rhône, comme la Saône, restent en alerte jaune.  

Les bas ports de la Saône restent inaccessibles aux piétons jusqu’à nouvel ordre tandis que les niveaux inférieurs des parkings Saint-Antoine et Vieux-Lyon, inondés, sont impraticables, apprend-on dans 20 Minutes. Le niveau de la rivière devrait continuer de monter lentement avec les apports de ses affluents, soit la Saône en amont, mais aussi le Doubs et la Seille.

L’ex-employé de l’hôpital Nord-Ouest à Villefranche a été jugé ce vendredi devant le tribunal correctionnel. Ce mercredi 3 janvier, il récidivait avec une tentative de vol dans la chambre d’un malade. D’après les informations du Progrès, c’est une infirmière qui a surpris l’homme en train de fouiller dans la table de chevet du malade. La sécurité de l’établissement l’a rapidement intercepté.

L’ex-employé, qui possédait encore sa carte d’entrée dans l’établissement avait été condamné en décembre dernier pour des faits similaires commis à Lyon. Par le passé, il avait déjà été condamné pour vol et délits commis sous l’emprise de l’alcool. A son domicile, les enquêteurs ont découvert une trousse à l’intérieur de laquelle se trouvaient des clés et des bijoux, qu’un autre homme lui aurait demandé de garder.

Le ministère public a requis 12 mois de prison dont 6 mois de sursis avec mise à l’épreuve. Son avocat a axé sa défense sur les enfants du prévenu : sur quatre fils, trois sont actuellement en prison. D’après lui, son client craignait « de croiser un de ses enfants dans la cour de promenade à la prison ». Le tribunal l’a finalement condamné à huit mois de prison dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve. En outre, il devra remplir des obligations de soins, de travail, de de formation professionnelle et d’indemnisation de ses victimes.

Les 170 passagers du vol EZY8943 ont vu leur vol entre Londres-Gatwick et Grenoble se raccourcir, ce samedi après-midi. Et pour cause, une sortie de fumée avait été repérée dans le cockpit. L’A320 a été dérouté sur Lyon, à l’aéroport de Saint-Exupéry, où il a atterri à 15h15. Les pompiers de l’aéroport et du SDMIS étaient présents à l’atterrissage. Si aucun feu n’a été détecté à bord de l’appareil, il devra toutefois subir quelques vérifications.  Les passagers du vol ont poursuivi leur trajet en bus pour atteindre leur destination.

Le véhicule a été retrouvé calciné dans le quartier de la Quarantaine à Villefranche-sur-Saône, durant la nuit de vendredi à samedi selon nos confrères du Progrès. Avant d’incendier l’Audi, le malfaiteur a volé les jantes du véhicule. La police a ouvert une enquête afin de retrouver l’auteur de l’incendie. Dans la loi, non-restitution d’un véhiculé loué se traduit par un vol, un détournement.

Lyon, les femmes des forces de l’ordre manifestent contre la violence envers la police

Au total, une vingtaine de femmes étaient présentes pour s’opposer aux « démonstrations de haine » envers la police et leur démontrer leur soutien. L’action, dirigée à Lyon par la porte-parole des FFOC (Femmes des forces de l’ordre en colère) de Bourgogne-Rhône-Alpes, a été suivie dans plusieurs grandes villes. Ces manifestations font notamment suite à l’agression de deux policiers à Champigny-sur-Marne la nuit de la Saint-Sylvestre. A Lyon, la porte-parole des FFOC « veut marquer le coup, après ce qui s’est passé le 31 décembre et le 1er janvier« , mais aussi « remercier la police, la gendarmerie et les pompiers ».

Âgé d’une trentaine d’années, il était originaire de la région lyonnaise. L’homme, qui skiait en hors piste sur la station de La Plagne est décédé ce samedi après-midi, des suites de sa chute.  L’accident est survenu alors que le skieur, accompagné d’un ami, effectuait la descente de la Roche de Mio (2 700 mètres d’altitude), apprend-on dans Le Progrès. Dans l’optique de raccourcir le trajet, les deux hommes modifient leur parcours et bifurquent un peu plus tard que prévu. A l’arrivée des secouristes, le skieur était déjà décédé. « Le jeune homme n’a semble-t-il pas aperçu la barre rocheuse qui se trouvait non loin et a fait une chute d’une centaine de mètres » ont-ils constaté. Son ami, qui avait alerté les secours, a été descendu en hélicoptère. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’accident.