Selon les informations du Progrès, l’adjointe de sécurité de 23 ans aurait renversé un piéton rue Paul-Bert, alors qu’elle était au volant de son véhicule, le 23 décembre en fin d’après-midi.

D’après les premiers éléments de l’enquête, cette dernière ne dépassait pas la limite de vitesse autorisée. Après avoir ressenti le choc de l’impact, la jeune femme se serait arrêtée, avant de reculer et de rouler une seconde fois sur sa victime. Prise de panique, elle a ensuite pris la fuite, laissant derrière elle le corps d’un retraité de 65 ans, décédé. Les autorités l’ont retrouvée moins d’une heure plus tard.

Son manager a commencé à avoir des doutes en voyant que celui-ci était réticent à présenter son badge. Après seulement deux jours dans l’entreprise, l’intérimaire avait volé une montre ainsi qu’un petit colis. La hiérarchie rapidement mise au courant, a fait venir la gendarmerie. Après fouille de l’homme originaire de Meyzieu et observation des images de la vidéosurveillance, il s’est avéré que l’intérimaire avait dérobé pour 500€ de marchandise. Celui-ci a d’ailleurs reconnu les faits. Les objets ont été récupérés par la société et seront reconditionnés avant d’être expédiés, tandis que l’homme devra payer une amende.  Les gendarmes étaient déjà intervenus il y a quelques semaines sur le site Coliposte de Saint-Laurent-de-Mure, suite à des vols.

Les adolescents, ayant entre 15 à 16 ans, avaient affirmé à leurs parents qu’ils allaient dormir chez un copain. Ils ont finalement terminé leur nuit en garde à vue. Alors que quatre jeunes niaient être à l’origine du feu de poubelle, le dernier a fini par avouer. Le jeune de Saint-Fons a jeté un papier embrasé dans la poubelle, sans intention d’y mettre le feu. L’adolescent de 15 ans est convoqué devant la maison de justice de Vénissieux pour une réparation.

Sur la réservation, pas plus de quatre personnes : un réveillon familial, à priori en toute tranquillité. D’après l’habitant de Cusset, c’est une centaine de personnes qui auraient été présentes, apprend-on dans Le Progrès. Une bien mauvaise surprise, pour celui qui louait sa maison avec jardin pour la première fois, via la plateforme de voyageurs Airbnb. Pendant que sa maison était saccagée par des visiteurs inopportuns, ce dernier était en Tunisie avec son amie.

Des dégâts qui coûteraient 40 000€ en travaux 

A son retour, le sol est collant, malgré le passage de serpillère à répétition. Une porte-fenêtre ne ferme plus, tandis qu’un mur a été tapissé d’alcool. Poursuivant la visite au premier étage, les dégâts sont plus importants : un trou dans un mur, un écran plat cassé et une table de nuit suspendue arrachée. Pour le propriétaire, un cadre commercial de 38 ans, c’est un drame : « C’est une maison neuve, dessinée par un ami architecte. Elle a un an et demi. Je l’ai financée tout seul ». D’après ses estimations personnelles, les travaux s’élèvent à 40 000 ou 50 000€.

Selon le cadre commercial, l’adresse de son domicile a été diffusée sur les réseaux sociaux durant la Saint-Sylvestre : sur les vidéos des deux caméras de surveillance disposées dans le jardin, un flux constant de nouveaux arrivants. « 1h33, il y a de plus en plus de monde. 1h43, ça augmente » commente-t-il.

Une garantie de remboursement des dommages de Airbnb 

Suite aux dégâts constatés, il a porté plainte pour dégradations volontaires. En guise de preuves, il a fourni aux enquêteurs les images des caméras de surveillance disposées dans son jardin ainsi que l’identité du locataire enregistré sur Airbnb. Heureusement, le propriétaire, qui consultait déjà les vidéos des caméras le 1er janvier sur son portable, a décliné la demande prolongation de location.

La plateforme de location Airbnb a été mise au courant dès le 1er janvier. Contactée par Le Progrès, elle a affirmé que le propriétaire du domicile allait bénéficier de la garantie de remboursement sur devis des dommages, à hauteur maximale de 800 000€.

Les croyants ont pu découvrir dès jeudi matin que leur lieu de culte avait été vandalisé à coups de pierres. Bilan : une fenêtre brisée. La Mosquée, qui a porté plainte, souhaite surtout rassurer ses fidèles : « C’est un acte isolé, exceptionnel, mais des priants ont peur et nous ne voulons pas le banaliser ni que cela s’amplifie » a déclaré le responsable du lieu, M. Morsli.  Pour autant, ce dernier ne comprend pas cette violence. « Nous n’avons pas de souci avec nos voisins. Nous avons un vrai dialogue interreligieux » explique-t-il. Suite à une demande de la Municipalité, la police municipale ainsi que la police nationale vont augmenter la surveillance de la mosquée.