Accident de Vénissieux : l’enquête se poursuit
Selon la brigade des accidents et délits routiers (BADR), le conducteur était attaché. Rien n’est moins sûr pour les passagers.
Dans la nuit de samedi à dimanche, cinq jeunes ont été tués lors d’un grave accident de la route. Les victimes sont âgées de 17 à 21 ans. L’enquête, menée par la BADR, cherche encore à comprendre les circonstances exactes qui a mené à cette tragédie.
Peu d’éléments ont pour le moment été communiqués par la brigade. On sait que toutefois que le conducteur, qui avait son permis depuis moins d’un an, était attaché lors du choc. En revanche, les premières constatations ne permettent pas d’assurer la même chose pour les passagers, qui n’ont toutefois pas été éjectés de la voiture.
Quant à l’accident lui-même, le Renault Scenic accidenté roulait à vive allure lorsqu’il a doublé un véhicule. En se rabattant, le conducteur a percuté le terre plein avant de s’écraser contre le mur d’un bâtiment industriel. Si la vitesse est en cause, aucune information sur la vitesse précise n’a été donnée.
Les autopsies sont toujours en cours pour savoir si les cinq jeunes décédés étaient sous l’emprise de l’alcool et/ou de drogue dimanche dernier.

La gendarmerie du Rhône alerte sur la présence de faux-billets dans le commerce
Certains commerçants de la région lyonnaise sont victimes d’usages de faux billets.
Vérifiez que la monnaie de votre commerçant est bien vraie. Depuis quelques semaines, ces derniers reçoivent et déclarent la présence le faux-billets.

La gendarmerie du Rhône a publié ce lundi un communiqué mettant en garde la population face à ce fléau.

Elle rappelle qu’il existe plusieurs manières de desceller un vrai billet d’une contrefaçon. Elle spécifie que des stylos dont l’encre met en évidence le faux papier existent, « mais l’efficacité limitée ». Elle conseille de regarder la présence à plusieurs endroits du montant du billet, ou encore analyser le relief du billet ou encore le fil de sécurité.
La gendarmerie rappelle que ‘si vous êtes en possession d’un faux billet, vous devez l’apporter à la Banque de France, au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie. Malheureusement, vous ne recevrez pas de billet authentique en contrepartie. » Elle prévient également que « la peine encourue pour usage de fausse monnaie est de 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende. »

Deux auto-écoles lyonnaises veulent former les utilisateurs de trottinettes électriques
Les établissements volontaires vont proposer une formation de prévention à partir de septembre.
Face aux incivilités et accidents de la route en trottinettes électriques, certaines auto-écoles veulent agir. Dans le cadre d’un programme porté par Conseil national des professions de l’automobile (CNPA) et de la société d’exploitation de trottinettes électriques Circ, les auto-écoles sont conviées à se lancer dans la formation pour l’utilisation des trottinettes électriques. Deux centres lyonnais sont prêts à développer cette activité.
Le but serait de créer des discussions de groupe et de sensibiliser aux risques liés à l’usage des engins électriques. Parmi le programme, les auto-écoles diffuseront des crashs tests réalisés avec des trottinettes électriques. Ils enseigneront également les bons gestes à avoir et l’équipement recommandé.
L’auto-école des Brotteaux, située dans le 6e arrondissement, proposera ce service au tarif compris entre 10 et 15 euros. À noter que les auto-écoles partenaires du programme peut offrir des trajets gratuits à la fin de la formation. L’auto-école des Brotteaux en donnera deux à chaque élève.
Conduite Plus, l’autre groupe volontaire, proposera ce service dans ses 5 agences présentes dans l’agglomération. Paris, Marseille, Bordeaux et Annecy sont les quatre autres villes partenaires du programme.

Ain : trois sites d’abattage illégal découverts lors de l’Aïd el-Kebir (Anthony Faure)
Dans un communiqué, la Préfecture de l’Ain assure ce mardi que trois sites d’abattage illégal ont été découverts par les gendarmes dimanche lors de la fête de l’Aïd el-Kebir.
La Préfecture de l’Ain assure dans un communiqué que plus de 400 moutins et 33 bovins ont été abattu légalement dans les sites d’abattage agréés du département de l’Ain à l’occasion de la traditionnelle fête musulmane de l’Aïd el-Kebir depuis dimanche.
Une vingtaine d’animaux abattus illégalement
La Préfecture de l’Ain ajoute que trois site d’abattage illégal « ont été mis en évidence par la gendarmerie […] pour ce qui concerne un total d’au moins 20 animaux abattus illégalement ». Des sites à Meximieux, Montceaux et Oyonnax.
« L’abattage de moutons en dehors d’un abattoir autorisé est une pratique dangereuse » conclut la Préfecture. En terme d’hygiène et de sécurité.

Effondrement dans le centre de Lyon : une poutre à l’origine du sinistre ?
13 AOÛT 2019 A 10:53  PAR ANTHONY FAURE
Le 5e étage d’un immeuble s’est effondré sur le 4e dimanche soir au 4, rue Giuseppe Verdi, dans le 1er arrondissement de Lyon. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’écroulement d’une poutre ancienne serait à l’origine de l’effondrement.
Mais qu’est-ce qui s’est passé au 4, rue Giuseppe Verdi dimanche soir ? Le 5e étage d’un immeuble s’est effondré sur le 4e. Il n’y a pas eu de victime. L’immeuble a été évacué et les habitants relogés.
D’après plusieurs informations recueillies, l’effondrement d’une poutre ancienne, au 5e étage, serait à l’origine du sinistre. Cette poutre maintenait le plafond de l’étage. C’est un immeuble qui ne présentait pas d’insalubrité particulière.
Une expertise est toujours en cours
Par mesure de sécurité, tous les habitants ont été évacués. Une expertise avec les pompiers et les services sécurité-prévention de la ville de Lyon a débuté lundi pour déterminer quelles mesures seront mises en places pour sécuriser l’immeuble et quand le retour des habitants sera possible.
Pour le moment, un périmètre de sécurité reste en place autour de l’immeuble. Certains habitants ont pu lundi après-midi récupérer des affaires chez eux mais ils ne peuvent pas retourner y vivre pour le moment.

Lyon : violent, un homme de 52 ans dénoncé par ses parents
Un père et une mère de 76 et 73 ans ont été contraints de se rendre au commissariat après avoir été violentés et chassés de chez eux par leur fils de 52 ans.
Mardi vers 16h, un homme âgé de 52 ans (7 faits sur son casier judiciaire), vivant rue de la République à Vaulx-en-Velin, a été arrêté dans le périmètre de la commune. Ses parents s’étaient présentés au commissariat pour signaler que leur fils, consommateur habituel de cannabis et sans-emploi, les avait frappé et expulsés de leur domicile. Le père, âgé de 76 ans, a reçu 8 jours d’ITT et la mère, âgée de 73 ans, a reçu 2 jours.
Placé en garde à vue, il a nié les faits et assuré que ce sont ses parents qui l’avaient agressée. Il était aussi entendu à la suite de violences commises le 3 août dernier sur un homme de 43 ans demeurant à Saint-Fons. Sans raison apparente, il avait frappé la victime qui circulait à scooter, sur le bras avec un manche à balai . Il va être présenté au parquet ce jeudi.