Chez petit-Guy

17 février 2019

Dimanche 17 février

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eri31oct2

Salut les amis bon dimanche ici présentement au Québec ce sont les couvertures de bâtiments qui effondrent sous la neige c’est la folie. Oui tout le monde a peur et avec raison un hiver de fou. Il y a eu l’aréna ensuite hier un entrepôt plus loin de Québec, bref ça n’arrête pas. Je dois filer le boulot m’attend encore une fois, on se reparle merci de votre visite à plus tard bye!

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France

LYON ET RÉGION
Quinzième Prix Jacques Deray, une œuvre toujours présente
L’institut Lumière fêtera ce samedi le quinzième prix Jacques Deray, anniversaire qui correspondra à quelques mois près à la disparition du célèbre réalisateur en 2003.
Excepté nos bons génies en la personne des frères Lumière, Lyon ne compte parmi ses natifs que deux grands cinéastes : Jacques Deray et Bertrand Tavernier. Le premier fut son vice-président jusqu’à son décès, le second est toujours président de l’institut Lumière, marque d’une véritable reconnaissance filiale à l’égard des inventeurs de la rue du Premier film par ces auteurs de films populaires et intimistes qui auront bâti chacun une œuvre singulière.
Le prix Jacques Deray, fondé par son épouse Agnès Vincent Deray et sa fille Laurence Deray, honore chaque année un film policier récemment sorti, rendant ainsi hommage à la filmographie si talentueuse en thriller et drame psychologique du metteur en scène de La Piscine, de Trois hommes à abattre, d’Un papillon sur l’épaule ou de On ne meurt que deux fois !
Le cinéma de Jacques Deray a marqué la mémoire populaire avec de très grands succès mais aura également connu l’adoubement de la critique. Cette filmographie révèle un pari de liberté gagné par le cinéaste durant toute sa carrière, enchainant à titre d’exemple une grosse production telle que Borsalino par une comédie déjantée comme Doucement les basses puis un film romantique comme Un peu de soleil dans l’eau froide.
Jacques Deray aura tourné des films au Japon, aux Etats Unis et dans toute l’Europe, exportant un savoir-faire de cinéma enseigné comme assistant par les plus grands réalisateurs tels que Buñuel, Jules Dassin ou Gilles Grangier.
Delon, Belmondo, Ventura, Serrault, Piccoli, Trintignant et combien d’autres grands acteurs français lui doivent des rôles titres. Jean Claude Carrière et Audiard lui auront écrit de magnifiques histoires.
A n’en pas douter son œuvre, toujours présente dans le cœur des amoureux du cinéma, traverse un âge d’or du cinéma français, celui entre autres de Melville, de Sautet et de Truffaut. C’est pour toutes ces raisons que le prix Jacques Deray est considéré comme une authentique distinction par les metteurs en scène qui le reçoivent, comme ce sera le cas de Pierre Salvadori ce samedi soir.
Un documentaire d’Agnès Vincent Deray sur le travail de Jacques Deray sera diffusé à 16 h à l’institut Lumière avant la remise du prix à 18H30 et la projection d’En toute liberté de Pierre Salvadori.
Eric Pelet
 
Lyon : la justice a-t-elle fermé les yeux sur l’affaire Bénichou ?
C’est un nouveau volet dans l’affaire Bénichou.
L’énième scandale dans le milieu des huissiers lyonnais avait éclaté en mars 2012, quand l’ancien président de la Chambre départementale des huissiers Gilbert Bénichou était sous le coup de forts soupçons pour avoir détourné plus de 3 millions d’euros, au détriment des clients de son étude. Mis en examen pour abus de confiance aggravé, faux et usage de faux, il avait été incarcéré durant 4 mois à la prison de Corbas, en mai 2012, avant d’être laissé libre, sous contrôle judiciaire 4 mois plus tard.
Son procès est prévu dans quelques semaines, le 28 mars. En attendant, la chambre nationale des huissiers de justice a indemnisé les victimes du détournement de fonds présumé, à hauteur de 3 317 025 euros. 
Celui qui est à l’origine de l’affaire avait porté plainte en mars 2012 auprès de la brigade financière, après la vente de son fonds de commerce, la pharmacie de la galerie marchande de Carrefour de Vaulx-en-Velin l’année précédente. Une vente pour un coquet montant de 2 920 000 euros. Lui, comme les autres victimes, avait dû longuement patienter avant de revoir son argent, normalement gardé puis rendu par le séquestre, en l’occurrence Gilbert Bénichou.
Mais l’huissier en question aurait fait transiter les fonds sur d’autres comptes et en aurait également tiré à son profit, ou à ceux d’amis et de membres de sa famille. Parmi les proches qui ont bénéficié de cet argent, on retrouve le créateur de robes Frédéric Alzraa. Il se serait rendu coupable de recel d’abus de biens sociaux et d’abus de confiance aggravé. Dans les dépenses pointées par la juge d’instruction, plus de 29 000 euros de frais pour une opération immobilière, des frais de voyage mais surtout un montant total de « minimum 1 million d’euros sur 10 ans de l’aveu commun des intéressés ». Mais quand le pot aux roses avait été découvert, Gilbert Bénichou avait vite plongé.
C’est là que l’affaire se trouble un peu plus. On découvre en effet que le pharmacien de Vaulx avait adressé une réclamation au procureur de la République contre Maître Bénichou, bien avant sa plainte. Mais en octobre 2011, le procureur de la République de Lyon Bernard Reynaud classe sans suite la réclamation déposée contre l’huissier de justice. « Aucune faute pénale ou déontologique » n’a été établie par l’officier public ministériel, avait tranché le Juge de l’Exécution Michel-Henry Ponsard. Ainsi, le Tribunal de Grande instance de Lyon déclarait « conforme […] les actions d’exécution entreprises à ce jour par Maître Bénichou au titre de la mission de séquestre judiciaire ». Mieux, il fixait « à la somme de 3500 euros HT le montant des frais dûs à Maître Bénichou, au titre de sa mission de consignation déjà exécutée » et, en plus, « à la somme de 6500 euros HT le montant des frais dûs à Maître Bénichou au titre se sa mission de Séquestre judiciaire ». Enfin, le Juge Ponsard « rappelait solennellement à l’ensemble des parties présentes en la cause que le Séquestre Judiciaire rend compte de la bonne exécution de sa mission au Tribunal ». 
Une décision bien étrange, lorsque l’on sait que l’intéressé sera finalement mis en examen quelques mois plus tard et que dans l’ordonnance de requalification et de renvoi devant le tribunal correctionnel, il est écrit par le juge d’instruction que le pharmacien « attendait le reversement par l’huissier d’un règlement de 800 000 euros de son débiteur depuis le 3 janvier 2011 ». Le juge n’aurait rien vu ? La pilule est dure à faire passer pour certains. Juste avant d’entrer à Corbas, Gilbert Bénichou finira par renoncer à ses 10 000 euros d’honoraires. JD.
 
Guy Benhamou : “Gerland serait un beau point de chute pour le casino Le Pharaon”
Guy Benhamou, directeur du casino de Lyon Le Pharaon, est l’invité ce vendredi matin de Gérard Angel, dans les Coulisses du Grand Lyon.
Au dernier conseil municipal, la Ville de Lyon a renouvelé la concession pour 9 ans du casino au groupe Partouche. Ce dernier était le seul candidat. Il doit désormais vers 5 millions d’euros à la Ville, assortis d’un million au titre de la participation culturelle.
« On n’a pas retrouvé notre pleine activité passée mais on a surmonté la crise. Et ce, en développant un accueil, une synergie pour apporter du confort à la clientèle qui avait quitté le casino, surtout à cause de l’interdiction d’y fumer. On a recréé des modules avec des espaces fumeurs », développe Guy Benhamou.
Le casino Le Pharaon ne devrait pas faire long feu à la Cité Internationale car Guy Benhamou et le groupe Partouche ont le « souhait de délocaliser l’établissement ». Il faut désormais trouver 4000m2 à Lyon intramuros pour respecter la licence. « La Confluence, c’est compliqué parce que ce sont des modules de 500m2 de base. Par contre, Gerland est un beau point de chute ».
 

Incendie mortel route de Vienne : un millier de personnes pour dire adieu à Clara et Anna

 

LyonMagI

LyonMag

De la tristesse mêlée à de la colère et de l’impuissance.

Jeudi en fin d’après-midi, les sentiments des participants à la marche blanche pour Clara et Anna étaient exacerbés, à fleur de peau. Il faut dire que l’incendie dans lequel ont péri la jeune femme enceinte et sa fille de 4 ans n’a rien d’un accident, d’un drame inévitable. Un millier de personnes se sont donc données rendez-vous place Belleville avant de rejoindre le 125 de la route de Vienne, victime d’une explosion puis d’un incendie samedi dernier.

La piste criminelle étant privilégiée par les enquêteurs puisque les propriétaires de la boulangerie du rez-de-chaussée étaient visiblement menacés, les riverains réclament des réponses. Ils souhaitent aussi que la municipalité fasse de ce quartier du 8e arrondissement de Lyon une priorité. Dans le cortège, Gérard Collomb, maire de Lyon, et David Kimelfeld, président de la Métropole, préfèrent rester discrets.

Quelques mois après l’effondrement de deux bâtiments à quelques mètres du lieu de l’incendie, rares sont les habitants qui se sentent en sécurité.

Des centaines de fleurs ont été déposées sur les grilles qui barrent l’axe depuis le sinistre. Clara et Anna sont parties, il faut désormais soutenir Julien, le père, le mari. Il a été pris pour cible sur Internet, de nombreuses personnes lui reprochaient d’avoir « abandonné » sa famille dans les flammes. La réalité est toute autre, il a été projeté par la fenêtre par un souffle de l’incendie, alors qu’il refusait de descendre en laissant ses proches.

Rhône : il diffuse des montages pornographiques de l’instituteur qui couchait avec sa femme
Un parent d’élève vient d’être condamné pour avoir diffusé des montages pornographiques d’un instituteur de son village des Monts d’Or, qui avait des relations avec sa femme.
Il a été condamné à 2 000€ d’amende avec sursis, 600€ de dommages et intérêts et 800€ de frais judiciaires pour atteinte à la vie privée et usurpation d’identité. Le Progrès le révèle dans son édition du jour, l’informaticien, furieux de la relation amoureuse entre sa femme et le professeur, a diffusé des images à caractère pornographique de l’amant parmi des groupes d’adolescentes dénudées et a envoyé des messages inventés, laissant croire aux penchants pédophiles de l’enseignant. Il a également créé un faux profil Facebook à la victime, en volant des photos sur l’ordinateur de sa femme.
De son côté, le professeur a obtenu la suppression de tous les documents, mais également 5 000€ de dédommagement.
 
La droite estime que le voyage de Collomb aux Emirats Arabes Unis aurait dû faire l’objet d’une délibération
Dans un courrier adressé à l’adjoint au maire de Lyon chargé des Finances, Richard Brumm, Stéphane Guilland réclame des réponses sur le déplacement de Gérard Collomb aux Emirats Arabes Unis.
« Ce déplacement n’a fait l’objet d’aucune délibération du conseil municipal contrairement aux dispositions de la délibération 2015/916 du 16 mars 2015 se référant aux articles L. 2123-18 et R. 2123-22-1 du Code général des collectivités territoriales. Cette délibération précise qu’un mandat spécial doit être accordé au préalable, sauf en cas d’urgence ou de force majeure dûment justifiés », dénonce le leader de la droite lyonnaise.
Gérard Collomb s’est peut-être trahi jeudi lors de sa conférence de presse proposant un bilan du voyage de trois jours à Dubaï et Abou Dabi. Car il a expliqué que le déplacement avait été « programmé depuis un certain temps » et la date fixée « par le World Government Summit ».
« Nous vous saurions gré de nous fournir toutes explications nécessaires à ce dysfonctionnement particulièrement regrettable ainsi que tous les éléments relatifs à ce déplacement : composition de la délégation – élus et agents -, programme, intérêt communal du déplacement, coût de ce déplacement », réclame Stéphane Guilland à Richard Brumm.

Lyon : le faux facteur s’était emparé des cartes bancaires de 37 personnes âgées

Un faux livreur de la Poste, âgé de 48 ans, a été mis en examen, ce vendredi au palais de justice de Lyon (Rhône) pour vol par ruse. Il est soupçonné d’avoir abusé de la confiance de 37 personnes, toutes âgées de plus de 80 ans, depuis août 2018, à Lyon et Villeurbanne. Le préjudice est estimé à plus de 14 000 euros.
L’affaire commence durant l’été lorsque, les enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale du Rhône voient des personnes âgées venir en nombre dans les commissariats pour déposer plainte après avoir été flouées par un voleur. Le malfaiteur sonne aux portes des personnes âgées, habillé en livreur de La Poste.
Le voleur parvient à capter le code de leur carte bancaire en exhibant un faux terminal de paiement. « Il affirmait que la machine était défectueuse et devait aller en chercher une autre. Et bien sûr, il ne revenait jamais », précise une source proche de l’affaire. Le malfrat se dépêchait d’aller retirer de l’argent dans un distributeur de billets et il effectuait divers achats dans des bureaux de tabac.
Repéré sur des images de vidéosurveillance
La chance va tourner contre le quadragénaire quand les enquêteurs exploitent les images de vidéosurveillance d’une maison de retraite où il a frappé. « Cet homme, déjà très connu pour des faits identiques, a été reconnu par les fonctionnaires, explique une source proche de l’affaire. Nous avons eu de la chance car il était très prudent devant les caméras des commerces et des banques. »
Une étude de ses déplacements grâce à son téléphone portable a permis de comprendre qu’il était sur les lieux de 37 vols par ruse. Le suspect a été interpellé, jeudi à Villeurbanne, avant d’être placé en garde à vue. Il est passé aux aveux expliquant que son fils, qui avait travaillé à La Poste, lui avait fourni son déguisement.
Il échangeait des bijoux volés contre un hébergement
Un SDF recherchait un hébergement et avait trouvé le moyen de s’abriter.
L’un est poursuivi pour vol, l’autre pour recel. Deux hommes, âgés de 55 et 58 ans, ont été présentés au parquet ce vendredi pour vols par effraction et recel. Les faits remontent du 26 décembre dernier jusqu’à ce mardi.
Après un premier vol réalisé au lendemain de Noël dans le 6e arrondissement, le SDF de 55 ans a récidivé une première fois dans la nuit de lundi à mardi rue Malesherbes. Quelques heures plus tard, le quinquagénaire décide de pénétrer frauduleusement dans un appartement de la rue Molière. Il est alors surpris par le propriétaire des lieux. Interpellé ce mercredi, l’homme a nié les faits, malgré la présence de son ADN sur un tournevis lors du premier cambriolage. Le SDF est déjà connu des services de police avec plus de 50 mentions dans son casier. Il est soupçonné de trois vols par effraction au total.
Quant au deuxième individu, des bijoux dont l’origine semblait floue avaient été retrouvés le 27 décembre dernier à son domicile. En garde à vue, l’homme de 58 ans a alors avoué avoir reçu ces bijoux en provenance du SDF, en échange d’un toit. Il est poursuivi pour recel d’objets volés.
FRANCE
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HAUTES ALPES – Terrible accident de voiture : 3 morts et trois blessés graves
SOMME – Femme tuée dans un hôtel, son ex se suicide 
AVIGNON – Après 6 assassinats, la police judiciaire secoue le milieu des trafiquants
L’aide soignant d’un EHPAD filmé en train de frapper froidement une dame de 98 ans
LOIRE – Suicide en garde à vue d’un homme qui avait tué sa femme
 
LES ARAVIS – Un couple de randonneurs fait une chute mortelle
FOURGON VOLE – Les gardes à vue d’Adrien Derbez et sa complice prolongées
 
LOIRE – Un corps découvert dans une cave désaffectée. Une enquête en cours
MONDE
PAYS BAS – Un médecin soupçonné d’être le père de 200 enfants nés après une insémination artificielle
=== Il y avait eu le même cas aux Etats Unis !

la

 

One Response to “Dimanche 17 février”

  1. 1
    Monique Says:

    Allo !
    Temps de printemps en ce moment et ce, jusqu’à la fin du mois.

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