Un demandeur d’emploi écrit à la responsable de l’agence:

Madame,

Je me permets de contester votre décision de me radier de la liste des demandeurs d’emploi.

Certes et je le concède, j’ai refusé le dernier poste que vous m’avez proposé, mais mon parcours professionnel me donne toutes les excuses :

– Longtemps, j’ai travaillé à Limoges… puis j’ai été limogé.

– Vous m’avez vanté la mobilité, j’ai donc accepté un emploi à Vire… et j’ai été viré.

– Comme par miracle, vous m’avez trouvé un emploi  à Lourdes…. malheureusement, j’ai été lourdé.

– « Dans ces conditions, j’espère que vous comprendrez pourquoi je refuse catégoriquement le poste que vous me proposez à Castres…”

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Une enseignante donne un cours à ses élèves sur la différence entre les riches et les pauvres…

Manon lève la main : Moi madame, mon papa il a tout, la télé, le magnétoscope et le DVD.La maîtresse : Ah oui, mais est-ce qu’il a un bateau ?Manon réfléchit : Euh… non madame!La maîtresse : Alors tu vois, c’est bien ce que je disais, on ne peut pas tout avoir…Moi madame, dit Philippe, mon papa il a tout, la télé, le magnétoscope, le DVD et même un bateau.La maîtresse : Oui, mais est-ce qu’il a un jet privé ?Philippe réfléchit : Euh… non madame!La maîtresse : Eh bien ! Tu vois bien toi aussi qu’on ne peut pas tout avoir…Little Johnny lève la main et dit :   Moi, madame, mon papa il a vraiment tout. La preuve, c’est que samedi dernier quand ma grande sœur lui a présenté son nouveau petit ami Mohamed Abdoul, papa a dit : « Il nous manquait juste ça, câlisse! »

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Quel est le point commun entre une top model et un pêcheur à la mouche ?
Réponse : Ils sont sans cesse en train de surveiller leur ligne

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La vie maritale est très frustrante.
La première année de mariage, l’homme parle et la femme écoute. La deuxième année, la femme parle et c’est l’homme qui écoute. A partir de la troisième année, ce sont les deux qui parlent, et les voisins qui écoutent.

Lyon : le SDF laisse une note impayée de 1500 euros dans un restaurant de luxe

LyonMag

Rhône : près de 300 salariés manifestent devant le siège social des laboratoires Boiron

Sénatoriales dans le Rhône : retrouvez toutes les listes candidates

On connaît officiellement tous les candidats aux élections sénatoriales dans le Rhône. Le 27 septembre, sept postes de sénateurs seront à pourvoir.
Actuellement, les Républicains occupent 4 sièges, les socialistes 2 et les centristes 1.
Au total, 11 listes ont été déposées et officialisées.
Les Républicains auront deux candidats : un officiel et un dissident. François-Noël Buffet, sénateur sortant, conduit la liste « Territoires et République » avec Catherine Di Folco (sénatrice sortante), Paul Vidal, Laurence Fautra, Frédéric Miguet, Maryll Guilloteau, Philippe Garnier, Christine Galilei et Guy Martinet.
Face à lui, son ancien binôme des élections municipales et métropolitaines : Etienne Blanc. Le bras droit de Laurent Wauquiez à la Région a nommé sa liste « Des sénateurs engagés pour nos villes et nos territoires, liste d’union de la droite, du centre et des indépendants ». Il y figure aux côtés de Béatrice Berthoux, Jérémy Thien, Marie-Pierre Teyssier, Pierre Varliette, Myriam Fontaine, Pierre Oliver, Marie-Danielle Bruyère et Augustin Neyrand.
Troisième liste déposée et qui sera à scruter avec intérêt : celle de Thomas Dossus, l’écologiste. « Unis pour le Rhône, rassemblement de la gauche et des écologistes » attire notamment des socialistes et des communistes. Raymonde Poncet, Gilbert-Luc Devinaz (sénateur sortant), Danièle Lebail, Bernard Chaverot, Sheila McCarron, Patrick Bourrassaut, Christiane Constant et Bertrand Gonin complètent la liste.
Une « liste Gaulliste » a été formée par Gerbert Rambaud, membre de Debout la France. Suivent Maguy Girerd, Fabrice Bouchut, Anny Thizy, Pierre Dussurgey, Fabienne Pin, Guy Cappeau, Ludivine Cappeau et Norbert Hekimian.
La sénatrice sortante Michèle Vullien, membre de l’UDI, n’a pas réussi à fédérer le centre ni les Synergies autour d’elle. Sur sa liste « Union centriste pour le Rhône », elle compte sur Benoît Froment, Virginie Poulain, Martin Sotton, Nathalie Frier, Loïc Commun, Véronique Zwick, Cyril Boyault et Danielle Chuzeville.
Max Vincent, maire de Limonest, est l’un des principaux adversaires de Michèle Vullien. Avec sa liste « Le Rhône, la Métropole, les commune unis et solidaires » (sic), il pourrait vampiriser des voix avec l’aide de Valérie Mehu, Jacques Studer, Véronique Murillo, Pascal David, Isabelle Gavel, Didier Crétenet, Gisèle Coin et Marc Grivel.
Autre liste sur le même profil : « Territoires et proximité » menée par Pierre Diamantidis. Il est épaulé par Françoise Barnaud, Daniel Mercier, Martine Provane, Bernard Dejean, Christine Guinneton, Michel Thibaudon, Marie-Agnès Richard dit Maugiron et Claude Presle.
Et enfin, dernière liste centriste, celle de Bernard Fialaire. L’ancien maire de Belleville a récupéré des troupes de David Kimelfeld et Georges Képénékian, dissidents de la République en Marche. Sont donc présents sur « Avec les élus du Rhône et de la Métropole de Lyon » Karine Dognin-Sauze, Jean-Pierre Dumontet, Sarah Peillon, Loïc Graber, Claude Goy, Patrick Mathon, Nadine Baudet et Florent Chirat.
Pierre Obrecht est l’auteur de la liste au nom le plus savoureux : « Ne votez pas pour notre liste ». Un message clair porté également par Anne Delevallée, Marc Terrier, Sabine Laurent, Jean Jacquet, Cécile Almonté, François Mailhes, Anne Fraysse et Claude Kovatchevitch.
Une liste « Résistance » a été déposée par Farouk Ababsa. Il y a accueille Mireille Sanchez, Waren Dalle, Isabelle Plichon, Fabrice Noto, Angélique Baptiste, Pierre Brochier, Flora-Kim Mainaud et Joris Martins.
Le Rassemblement National est la dernière liste déposée. « Pour le rééquilibrage territorial » est portée par Andrea Kotarac. A ses côtés, on retrouve Agnès Marion, Christophe Boudot, Michèle Morel, Damien Monchau, Cécile Bene, Michel Dulac, Victoria Dufour et Rémi Berthoux.

Enfin” : quand Stéphane Bern réagit avec humour au départ de Jean-Pierre Pernaut      

Lyon : le blogueur Bassem bientôt en prison après des propos homophobes ?

Bassem Braïki – DR

16 septembre 2020 A 17:57 par Benjamin Terrasson
Le nouveau préfet à la sécurité, Thierry Suquet, a signé ce mercredi 16 septembre un arrêté dressant un périmètre d’interdiction de manifester jeudi, journée de mobilisation interprofessionnelle.
À l’occasion de la journée d’action prévue par l’intersyndical ce jeudi, le nouveau préfet délégué à la sécurité a signé un périmètre d’interdiction de manifester et autres « rassemblements revendicatifs » dans l’hyper centre lyonnais de 10h à 20h.
La zone concernée est délimitée par la rue Serlin, la rue de Constantine, la rue Victor Hugo, le quai de la Pêcherie, le quai Saint-Antoine, le quai des Célestins, le quai Tilsitt, la rue Antoine de Saint-Exupéry, la chaussée Sud Bellecour, la place Antonin Poncet, le quai Gailleton, le quai Jules Courmont et le quai Jean Moulin.
Néanmoins certaines des rues, des quais et des places qui délimitent le périmètre, sont autorisées aux manifestants. C’est le cas par exemple de la Place Antonin Poncet et de la Place Bellecour, où doit aboutir le cortège parti de la Manufacture des Tabacs à 11h30.
Les autres zones qui n’ont pas été incluses dans le périmètre d’interdiction sont les rues Serlin et de Constantine, les quais Saint-Vincent, de la Pêcherie, Saint Antoine, des Célestins, Tilsitt, Jean Moulin, ainsi que les places de la Comédie.

Agression d’un surveillant pénitentiaire à l’EPM de Meyzieu
Nouvel incident à l’Etablissement Pour Mineurs (EPM) de Meyzieu.
Ce lundi, vers 19h30, un mineur incarcéré a agressé un surveillant d’après FO.
Dans un communiqué, le syndicat indique que l’incident s’est déroulé « lors de la récupération des plateaux repas, quand le mineur a provoqué le surveillant en refusant de lui rendre le plateau comme à l’accoutumé ». L’agresseur mettra ensuite un coup de poing au niveau du visage du surveillant. Ce dernier, « en sang », parviendra à déclencher son alarme alors qu’il était de nouveau violenté par le détenu. « Il semblait avoir perdu la raison » précisent dans le communiqué de presse les gardiens.
Le syndicat demande désormais le transfert immédiatement du mineur et rappelle « ne pas avoir vocation à être un hôpital psychiatrique ».
L’EPM de Meyzieu semble actuellement en difficulté. Il y a quelques jours, un cluster de Covid-19 avait été détecté là-bas. Sept cas positifs avaient été confirmés parmi les surveillants.

Villeurbanne : une Atsem agressée par une maman devant l’école
Les faits se sont déroulés ce lundi, vers 16h, devant l’école Simone Veil de Villeurbanne.
Selon nos informations, un conflit a opposé un parent d’élève et une Atsem. D’après le rectorat de Lyon, la direction de l’école a d’abord reçu le parent d’élève afin de régler ce conflit. Le rendez-vous s’est bien passé et une solution a été trouvée.
Mais une fois la rencontre terminée, une altercation a éclaté entre l’agent territorial spécialisé des écoles maternelles et la maman reçue peu avant. Des témoins évoquent quelques coups portés envers l’Atsem. La victime, en état de choc, aurait été transportée à l’hôpital par les sapeurs-pompiers.
Une enquête pourrait être ouverte par la police suite à une plainte déposée par l’Atsem.

Ain : un avion de tourisme s’écrase au milieu d’un village, le pilote retrouvé mort
16 septembre 2020 A 16:36 par Anthony Faure
Un avion de tourisme s’est écrasé ce mercredi midi au coeur du village d’Arbent, à côté d’Oyonnax, dans l’Ain. Le pilote est malheureusement décédé.
Terrible drame ce mercredi midi à Arbent, à côté d’Oyonnax, dans l’Ain.
D’après Le Progrès, un avion de tourisme s’est crashé au coeur du village, au milieu d’un quartier résidentiel.
Le pilote a été tué. Personne d’autre n’a été blessé.

Covid-19 : les contraintes sanitaires bientôt renforcées à Lyon ?
Le ministre de la Santé, Olivier Véran, doit s’exprimer ce jeudi à 17h pour détailler la politique anti-Covid du gouvernement.
Il fera « une présentation claire pédagogique de la stratégie » du gouvernement, a indiqué Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, à l’issue du Conseil des Ministres.
Selon le Figaro, Olivier Véran devrait lister les territoires où la contamination augmente, et qui pourraient être soumis à des restrictions sanitaires, comme cela a déjà été annoncé à Bordeaux ou Marseille. Lyon, où le taux d’incidence atteint les 168 cas pour 100 000 habitants, pourrait être concernée par ces annonces.
Pour rappel, les rassemblements de plus de 10 personnes dans les parcs ou sur les quais ont été interdits à Bordeaux, et les fêtes étudiantes sont désormais interdites à Marseille. La jauge de spectateurs pour les événements a également été revue à la baisse, passant de 5 000 à 1 000 spectateurs, que ce soit en Gironde ou dans les Bouches-du-Rhône.
A Lyon et Villeurbanne, la mesure du port du masque obligatoire a été prolongée jusqu’au 30 septembre. Il s’agit là, pour le moment, de la seule mesure contraignante pour éviter la propagation du Covid-19.

Coronavirus : obligation du port du masque prolongée à Lyon et Villeurbanne
Ce mercredi, la préfecture du Rhône a pris un nouvel arrêté.
Le préfet du Rhône Pascal Mailhos a décidé de reconduire, jusqu’au 30 septembre minuit, les mesures liées à la lutte contre le coronavirus et notamment l’obligation du port du masque dans l’espace public pour toute personne de 11 ans et plus dans les villes de Lyon et Villeurbanne. Cette mesure, qui fait suite à un arrêté qui courait jusqu’à ce mercredi, ne concerne toujours pas les cyclistes et les joggeurs durant leur activité sportive.
Une décision justifiée, selon les services de l’Etat, car le département du Rhône est toujours placé en zone de circulation active du Covid-19.
De plus, dans le reste de la Métropole de Lyon et du département du Rhône, le port du masque « reste obligatoire aux abords des gares, stations de métro et arrêts de tramway et de bus ». Le masque devra également être obligatoirement porté autour des établissements scolaires et d’enseignement supérieur dans un rayon de 50 mètres.
La préfecture indique que les contrôles seront renforcés sur les lieux de circulation active, « à savoir la voie publique, les établissements recevant du public et notamment les bars, restaurants et centres commerciaux ». Le non-respect de ces mesures expose les contrevenants à une amende de 135 euros.