Selon nos confrères du Progrès, l’obus daterait de la Première Guerre Mondiale.

Les démineurs ont procédé à l’enlèvement de la bombe. Le périmètre de sécurité qui avait été mis en place a été levé après la fin de l’opération.

Après sortez couverts, sortez masqués !
Alors que depuis le 20 juillet dernier, le port du masque a été rendu obligatoire dans les lieux publics clos, le gouvernement a durci les règles, au regard de la situation sanitaire préoccupante, en donnant la possibilité aux préfets de décider du port obligatoire du masque dans les lieux publics ouverts.
La Covid-19 circule toujours en France, favorisée par les déplacements des vacanciers et le relâchement de la population au niveau du respect des gestes barrières.
Serrer la vis pour éviter un reconfinement
Le gouvernement a été accusé d’ « infantiliser » les Français. Lors du déconfinement, la prévention a ainsi primé. Mais alors que les foyers de la Covid-19 se multiplient, les autorités ont décidé de serrer la vis pour éviter une deuxième vague et un reconfinement généralisé qui serait, à coup sûr, terrible pour le pays et son économie.
Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé l’a annoncé ce vendredi matin : « Pour limiter la circulation du Covid-19, les préfets pourront désormais par arrêté étendre l’obligation de port du masque aux lieux publics ouverts. Cette décision pourra être prise localement, en fonction de l’évolution de l’épidémie dans chaque territoire. »
« Dans les cas où le port du masque n’est pas prescrit par le présent décret, le préfet de département est habilité à le rendre obligatoire, sauf dans les locaux d’habitation, lorsque les circonstances locales l’exigent », est-il précisé dans un décret publié ce vendredi au Journal Officiel.
Obligation dès ce lundi minuit à Lille
Le préfet du Nord, Michel Lalande, n’a pas tardé à se saisir de sa nouvelle compétence. Il a en effet annoncé l’obligation de porter un masque en extérieur dès ce lundi minuit dans certaines zones de la Métropole européenne de Lille. Plus précisément, le port du masque est rendu obligatoire dans les « zones piétonnes, permanentes ou temporaires ; zones où la circulation routière est limitée à 20 km/h ; zones caractérisées par une forte fréquentation du public ; galeries commerciales et espaces assimilés des grandes et moyennes surfaces, ainsi que leurs espaces de stationnement ; marchés publics de plein air ; emprises et abords, dont les espaces de stationnement, des infrastructures de mobilité et de transports (gares, métro, gares routières, aéroports, aérodromes), espaces verts urbains (parcs, jardins et espaces aménagés en bord de cours d’eau) ».
Il est actuellement prévu par les services de la préfecture du Nord que la mesure s’applique un mois. Toutes les personnes de plus de 11 ans sont concernées. Les personnes en situation de handicap possédant un certificat médical disposent d’une dérogation mais doivent naturellement continuer à appliquer les mesures barrières et la distanciation sociale.
Pour les récalcitrants, cela leur coûtera 135 euros. S’ils récidivent dans les quinze jours, ils devront cette fois payer au maximum 1 500 euros. Et en cas de violation à plus de trois reprises dans un délai de trente jours, les contrevenants risquent jusqu’à six mois de prison, 3 750 euros d’amende ainsi qu’une peine complémentaire de travail d’intérêt général.
Aucune mesure prise par le préfet du Rhône
Aucune mesure n’a été, pour l’heure, prise par Pascal Mailhos, le préfet du Rhône.
Néanmoins, au regard de l’exemple lillois, et en cas de mise en place de la mesure, il est facile d’identifier les zones de Lyon qui seraient concernées par l’obligation du port du masque. Naturellement, la presqu’île. Avec ses nombreuses artères commerçantes, au premier rang desquelles la rue de la République, accueillent quotidiennement de très nombreuses personnes. Il n’est pas rare que la foule soit dense.

Les deux centres commerciaux de la ville, situés à la Part-Dieu et à Confluence, feraient également partie de la liste des sites concernés.

Les berges du Rhône entreraient dans le périmètre de l’arrêté

Les Lyonnais qui voudraient prendre l’air dans les parcs et jardins de la capitale des Gaules, et notamment le parc de la Tête d’Or et celui de Gerland, devraient respecter cette nouvelle mesure. Le week-end par exemple, énormément de personnes se promènent dans le parc du sixième arrondissement.

Aussi, les berges du Rhône, qui accueillent chaque soir de nombreux habitants venus profiter du peu de fraîcheur, au milieu des terrasses bondées des différentes péniches, entreraient sans nul doute dans le périmètre de l’arrêté du préfet.
Par ailleurs, dans les transports en commun lyonnais, le port du masque est déjà obligatoire.
Toutefois, même sans décision contraignante, rien n’empêche de porter un masque à l’occasion de chaque déplacement.
Pour limiter la circulation du #COVID__19 , les préfets pourront désormais par arrêté étendre l’obligation de port du masque aux lieux publics ouverts.
Cette décision pourra être prise localement, en fonction de l’évolution de l’épidémie dans chaque territoire.
— Olivier Véran (@olivierveran) July 31, 2020

Mardi dernier, des violences urbaines à Rillieux-la-Pape débouchaient sur des jets de projectiles sur des policiers.

Le véhicule de la police municipale recevait de nombreuses pierres, et les fonctionnaires faisaient alors usage de LBD et de grenades lacrymogènes pour faire déguerpir leurs quatre agresseurs.

Ce jeudi matin, quatre individus étaient interpellés après avoir été identifié « formellement » selon la DDSP grâce à l’exploitation de la vidéosurveillance et la reconnaissance par les agents. Tous ont nié les faits lors de leur garde à vue.

C’est alors que les enquêteurs ont décidé d’entendre également les mères des mis en cause, sentant que leurs versions différentes ne collaient pas. Le témoignage des mamans permettaient ainsi d’incriminer deux individus sur quatre. L’un d’entre eux a alors reconnu avoir été sur place mais estime n’avoir jeté aucune pierre sur les policiers.

Les deux jeunes aux 13 et 19 antécédents judiciaires seront présentés au parquet de Lyon ce vendredi en vue d’une mise en examen.

Le Lyonnais Stéphane Bern possède plusieurs cordes à son arc.

L’homme de 56 ans est bien connu des Français pour sa connaissance approfondie de l’Histoire, et notamment des familles royales, mais également pour avoir été désigné par son ami, le président Emmanuel Macron, à la direction de la mission Patrimoine.

Dernière actualité, l’animateur présent sur France 2 va jouer dans une fiction policière de cette chaîne du service public. Il termine en effet le tournage pour le premier épisode de la saison quatre de « L’art du crime » en septembre prochain.

Cette série télévisée raconte l’histoire d’un policier de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels. Ce dernier fait équipe avec une historienne de l’art pour résoudre des affaires liées à l’art en fouillant notamment dans l’histoire des plus grands artistes.

L’épisode dans lequel apparaîtra Stéphane Bern porte sur le peintre Vincent Van Gogh. Le meurtre d’un historien, par ailleurs consultant pour une émission télé présentée par Julien Quignard, rôle interprété par le Lyonnais, constitue le fil de l’intrigue. Le meurtre serait lié au peintre néerlandais et plus précisément à sa mort. En effet, celle-ci ne résulterait pas d’un suicide mais d’un assassinat… L’épisode sera diffusé au printemps 2021.

=== La réaction d’un lecteur, j’adore !!!

Le Lyonnais Stéphane Bern tourne dans une série policière

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