Avant d’arriver à Edouard-Herriot, il avait été pris en charge par les secours à Saint-Priest, après avoir été roué de coups par un petit groupe. Selon le Progrès, il a été victime de plusieurs coups de marteau à la tête lors de l’altercation.
Une seconde personne a été frappée aux abords de la place Jean-François Millet et a été légèrement blessée.

L’origine de la rixe, ainsi que le lien entre les deux victimes, est encore inconnue. La police, arrivée rapidement sur place, avait interpellé cinq personnes. Deux ont déjà été relâchées et trois devraient passer la nuit à être interrogées sur ce drame.

Selon nos informations, c’est une surveillante stagiaire qui a été visée par un détenu vers 16h30. Armé d’un couteau de type Opinel, ce dernier a lacéré sa victime à plusieurs reprises au niveau du visage. La surveillante présente des plaies à la pommette, l’arcade sourcilière et la nuque, mais ses jours ne sont pas en danger. Elle a été hospitalisée.

Le syndicat SNPFO a indiqué « apporter son soutien à (sa) jeune collègue » tandis que Sylvain Royere, premier secrétaire régional UFAP UNSA Justice appelle à un rassemblement mercredi devant les portes de l’établissement pénitentiaire à partir de 06h30.

L’administration de Lyon-Corbas reste injoignable. Dure semaine pour le personnel de la maison d’arrêt lyonnaise après le suicide d’un détenu samedi, déjà le 2e de l’année 2020.

Menée de front dans 7 régions et 15 agglomérations, cette opération visait les trafics de tabacs sous toutes leurs formes.

A Lyon, elle a été menée en fin d’après-midi dans le quartier de la Guillotière et a mobilisé une soixantaine d’effectifs. « Elle a permis, en particulier, la saisie de cigarettes de contrebande et la notification de plusieurs autres infractions« , précisent les douanes de Lyon.

Plus globalement, la douane a saisi près de 8,7 tonnes de tabac de contrebande dans la région en 2019. Ainsi, 3 600 paquets de cigarettes avaient été interceptés dans les bagages de voyageurs par les douaniers à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry et plus de 61 kg de tabac à narguilé lors du contrôle d’un bus par la brigade des douanes de Grenoble.

C’est le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, qui l’a annoncé ce mardi à l’Assemblée Nationale : « Mila et sa famille font l’objet d’une vigilance particulière, pour les protéger, de la part de la police nationale« .

Pour rappel, l’adolescente, originaire du nord-Isère, est menacée de mort et de viols depuis la mise en ligne d’une vidéo, le 18 janvier dernier, dans laquelle elle critiquait vivement l’islam.

Déscolarisée depuis, la jeune fille de 16 ans a expliqué lundi dans l’émission Quotidien que sa vie était « clairement en pause ».

Le septuagénaire est soupçonné d’avoir tiré, à bout portant, sur une voiture, dans laquelle avaient pris place un père et son fils, devant un bar de la commune, lundi soir.

Selon le Progrès, une altercation aurait éclaté entre les deux hommes au sein même de l’établissement. Le septuagénaire serait alors revenu avec un fusil de chasse, tirant à bout portant sur la voiture. Seule la carrosserie a été touchée. Le suspect a été placé en garde à vue. Une enquête est en cours pour tentative d’homicide, affirme le quotidien régional.

Un homme masqué et armé d’un couteau et d’une bombe lacrymogène s’est introduit dans une supérette sur l’avenue Pierre Brossolette à Bron aux alentours de 8h15. Il a menacé l’employé et lui a ordonné d’ouvrir le coffre. Des riverains, témoins de l’action, ont prévenu la police avant que la BAC n’intervienne.

Les policiers sont parvenus à appréhender l’individu, non sans mal étant donnée l’attitude de rébellion du malfrat. Le suspect se retrouve ainsi légèrement blessé puis est transporté à l’hôpital.

C’est alors qu’il profite d’un examen médical pour prendre la fuite. Il est une nouvelle fois rattrapé par la police puis se rebelle encore, blessant à son tour trois policiers. Cet habitant de Meyzieu aux 30 antécédents judiciaires et âgé d’une trentaine d’années a reconnu les faits.

Ils étaient soupçonnés d’avoir participé, le 21 septembre dernier, à un rodéo motorisé en marge d’un mariage sur la commune de Meyzieu.

D’après la DDSP du Rhône, ce jour-là, les policiers s’étaient alors déployés dans le quartier des Plantées de la commune mais n’avaient pas réussi à interpeller les auteurs.

Les chauffards, connus pour la plupart de la justice, avaient été finalement identifiés, notamment grâce à des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. En garde à vue, deux d’entre eux ont reconnu les faits. Ils sont attendus ce mardi au Parquet.