L’éditeur de l’ouvrage a annoncé ce vendredi son retrait de la vente, alors que deux victimes présumées du Père Preynat se sont opposées à la publication de leurs témoignages dans ce livre. Ces dernières avaient d’ailleurs assigné en référé l’association La Parole Libérée et l’éditeur du livre pour demander son interdiction.

« Afin d’inviter chacun à revenir à plus de raison, d’apaisement et de bienveillance et afin de replacer l’intérêt supérieur des victimes de pédocriminalité au centre des débats et au-dessus des rivalités personnelles, nous avons pris la décision de retirer de la vente le livre ‘Abusés' », peut-on lire dans un communiqué des éditions Temps Présent.

C’est cette maison d’édition qui avait sollicité la Parole Libéré pour obtenir l’autorisation de publier ces témoignages. François Devaux, co-fondateur de l’association, avait accepté sans consulter les victimes.

Le projet ne semble pas abandonné pour autant. Toutes les personnes qui le souhaitent pourront participer à un nouvel ouvrage. Cette affaire intervient alors que le procès du Père Preynat doit s’ouvrir le 13 janvier prochain.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-preynat-l-editeur-retire-de-la-vente-le-livre-de-temoignages-polemique-03-01-2020-8228688.php

A deux sur l’engin, ce qui est interdit, ils circulaient sur la voie de bus lorsqu’ils ont été percutés peu avant 2h du matin par une voiture à l’angle des rues Grolée et Stella dans le 2e arrondissement de Lyon.

Le conducteur du véhicule a pris la fuite mais a été retrouvé à son domicile quelques heures plus tard grâce à la vidéosurveillance qui a relevé sa plaque d’immatriculation. Le chauffard âgé de 61 ans a reconnu les faits et a expliqué que son Renault Scenic n’était pas assuré. Ce qui l’aurait fait paniquer.

Placé en garde à vue, il doit faire l’objet d’analyses pour vérifier s’il était sous l’emprise d’alcool ou de stupéfiants.

Quant à ses victimes, un homme et une femme, elles ont été hospitalisées à Saint Joseph Saint Luc. L’une souffre d’un traumatisme crânien. === Ça va lui coûter très cher !

Ses habitants du Haut-Beaujolais ont vécu des fêtes gâchées par le comportement violent de ce ressortissant polonais. Le soir de Noël, il a vu rouge une première fois lorsque son fils de 10 ans a cassé le jouet qu’il venait de lui offrir. Comme punition, il lui a assené plusieurs coups de ceinture.

Et le soir du Nouvel An, c’est sa femme qui a subi la violence exacerbée par l’alcool. Après avoir reçu un coup de poing au visage, elle a obtenu 15 jours d’ITT.

Finalement interpellé, le père de famille a reconnu les faits et la consommation excessive d’alcool à l’occasion des fêtes de fin d’année. Il sera jugé le 27 janvier à Villefranche. En attendant, il a été écroué.

Armés, ils ont menacé le buraliste. Mais ce dernier, victime de son troisième attaque en seulement quelques semaines, a réussi à faire fuir le duo les mains vides.

L’homme a toutefois pris la décision de les poursuivre dans la rue alors qu’ils enfourchaient leur scooter garé devant son enseigne. Deux coups de feu ont retenti et le buraliste a été frappé à coups de crosse. Dans la confusion, il a réussi à enlever la cagoule de l’un des braqueurs, alors reconnu par des passants.

Avec leur témoignage, l’enquête devrait pouvoir permettre d’interpeller les malfaiteurs assez rapidement. Quant au buraliste qui portera plainte ce samedi, il a obtenu 15 jours d’ITT et s’est fait poser 5 points de suture sur la tête.