La mesure a été prise par Bercy dans le projet de loi de finances rectificative 2019, examiné lundi par le Sénat. Les sénateurs ont finalement rétabli les 25 millions d’euros de crédits pour le patrimoine, mais cela nécessite maintenant un vote des députés.

« Il ne faut pas me prendre comme ça à rebrousse-poil. Je défends le patrimoine. C’est l’une des rares industries qui marche, qui n’est pas délocalisable et nourrit, directement et indirectement, 500 000 personnes en France« , a réagi l’animateur lyonnais qui entend « faire en sorte que soit la compensation des taxes soit pérennisée, soit demander définitivement l’abrogation de ces taxes sur le loto du Patrimoine« .

=== Il a raison !

Comme lors des trois dernières journées test, « le périmètre ne change pas et va de la rue Leynaud (Lyon 1er) jusqu’à la limite nord de la place Bellecour (Lyon 2e). Ce périmètre s’étend de quai à quai sans que les quais soient concernés par l’interdiction de circulation. Il inclut également le début des pentes de la Croix-Rousse ainsi que la place de la Comédie », précisent les services de la Métropole.

Pour laisser des voies de traversée Rhône-Saône aux automobilistes, les rues de la Barre, Grenette et Constantine restent ouvertes à la circulation automobile. Les parkings situés dans le périmètre sont toujours accessibles grâce à un dispositif de fléchage spécifique.

L’ensemble du périmètre est une zone de trafic limité dans laquelle la vitesse autorisée est de 5km/h pour les riverains et les ayants-droit et de 20 km/h pour les bus TCL. Seulement certaines catégories d’usagers seront autorisées à circuler, comme les livreurs et les services de secours.

« Sur l’ensemble du périmètre, les piétons sont prioritaires sur tous les véhicules et autorisés à cheminer sur les chaussées« , insiste-t-on à la Métropole.

Reste à voir comment sera accueillie cette expérimentation par les automobilistes lyonnais en pleine semaine, et notamment le jeudi, journée où les routes sont traditionnellement les plus chargées. Sur les trois premières journées, il a en tout cas été constaté « une diminution significative du nombre de personnes déclarant avoir utilisé la voiture pour se rendre en Presqu’ïle les samedis d’expérimentation, avec un report sur le mode piéton« .

Suite à une assemblée générale ce lundi, les salariés ont décidé de durcir le ton ce mardi en bloquant le site. Ils étaient une trentaine en ce tout début de matinée à bloquer les accès au site, notamment avec des cartons. Aucun camion n’entre ni ne sort du site actuellement : « on a changé d’action, on est à la raffinerie. À part les piétons qui ont réussi à rentrer, aucun véhicule, aucune entreprise ne peut rentrer. On est au point mort« , indique Pedro Afonso, délégué syndical CGT de la raffinerie de Feyzin.

Le groupe Total regrette les blocages en cours par les syndicats. La direction affirme, à travers un communiqué, que « les 7 opérateurs concernés seraient maintenus dans leur secteur de production sans aucun impact sur leur contrat de travail, ni leur classification, ni leur rémunération« . Le syndicat CGT estime que l’entreprise masque le vrai problème et qu’à terme, ces sept postes seront bien supprimés : « Il n’y aura pas de personne qui se retrouvera dans la rue, mais les départs volontaires ne seront pas compensés. À terme, on passera de 56 salariés à 49 au PCE. »

Quant au projet d’arrêt de l’unité du raffinage appelé viscoréducteur, Total explique avoir fait des propositions concrètes, « parmi lesquelles la création d’un poste d’opérateur jour, l’ouverture d’une négociation concernant certaines conditions de travail ou encore les mesures d’accompagnement des opérateurs concernés par l’arrêt du viscoréducteur. »

Les syndicats restent toutefois perplexes : « on n’est pas dans une petite PME. On ne peut pas encourager Total dans le secteur sociétal« , conclut Pedro Afonso. De nouvelles actions, « de la plus basique à la plus radicale« , sont envisagées par les syndicats dans les jours à venir.

L’artisan de 80 ans et son épouse, qui comparaissaient pour le recel de 271 œuvres de l’artiste, ont été condamnés à deux ans de prison avec sursis. Ces tableaux, datés de 1900 à 1932, avaient été entreposés pendant 40 ans dans leur garage. Le couple affirme que ces œuvres avaient été données par la veuve du peintre, mais la famille de Picasso dénonçait un vol.

Selon le Progrès, la police nationale et la police de l’air et aux frontières a été mobilisées pour intercepter des individus qui venaient de voler des Mercedes dans une société de location de l’aéroport.

Sept voitures ont été volées, mais trois ont pu être récupérées par les forces de l’ordre à l’issue de folles courses-poursuites à Genas, Jons et St Laurent de Mure. Au moins trois personnes, dont un jeune de 16 ans qui a tenté de renverser un policier, ont été interpellés.