Ce vendredi, le Sytral a initié le prolongement de la ligne de tramway T2 jusqu’à Hôtel de Région – Montrochet.

Aujourd’hui, le T2 s’arrête à Perrache, et laisse le T1 poursuivre sa route via Confluence jusqu’à Debourg. A terme, les deux lignes iront donc au delà de la gare du 2e arrondissement de Lyon.

L’objectif du Sytral est d’améliorer « largement » la desserte du quartier de la Confluence « avec le passage d’un tramway toutes les 2 à 2,5 minutes en heures de pointe ».

Pour que le tramway T2 puisse se retourner à Hôtel de Région – Montrochet, des travaux de réaménagement seront effectués à la station et en aval, avec l’installation d’une zone de manoeuvre.
C’était également pour préparer ce chantier que le tramway T1 ne circulait plus entre Perrache et Debourg cet été.

Le syndicat en charge des transports en commun prévoit d’injecter 11,8 millions d’euros dans ce projet qui débutera dès cet automne, avec une mise en service à la fin de l’année 2020.

Cette dernière avait déposé des demandes indemnitaires pour le préjudice de son fils de 9 ans victime de bronchites et de toux et pour son propre chef à hauteur, respectivement, de 30 000 et 35 000 euros. Le tribunal n’a pas fait droit à ces demandes.

En effet, bien que les moyens mis en place par l’Etat soient jugés insuffisants et constituent donc une faute, il n’y a pas d' »atteinte suffisamment grave au droit de vivre dans un environnement sain » compte-tenu « des risques écologiques inhérents à la vie en ville« .

Ainsi, « en l’absence d’éléments suffisants permettant d’établir un lien de causalité direct et certain entre la faute de l’Etat et les préjudices dont se prévalait la requérante, le tribunal a rejeté la demande de condamnation« .

Après avoir été présentés au parquet, ils ont été placés en détention provisoire, tandis qu’une information judiciaire était ouverte. Sur les trois individus aux casiers judiciaires bien fournis, seuls deux ont reconnu les faits reprochés. La vidéosurveillance de la rue de la Ré, mais aussi du Pathé Bellecour où s’est terminée l’agression de deux passants, avait permis de les identifier.

Après des coups échangés sur l’axe piéton de la Presqu’île lyonnaise pour une banale histoire de croque-en-jambe, le trio avait poursuivi leurs victimes sous la pergola du cinéma. Là, l’une des victimes avait été jetée au sol, avant de se faire sauter sur la tête à pieds joints. Grièvement blessée, elle avait obtenu 21 jours d’ITT.

Dernière apparition en date, des blocs de béton très moches, qui empêchent les automobilistes de se garer aux abords des bacs à fleurs, installés il y a quelques semaines.

C’est la Métropole de Lyon qui a décidé d’installer ces blocs de béton, mais en attendant une nouveauté bientôt implantée sur l’axe phare de la Presqu’île. D’après nos informations, des places pour les vélos ainsi que pour les trottinettes vont être créées à la place des blocs, d’ici quelques semaines. Au total, 142 places pour les vélos et 150 places pour les trottinettes seront donc proposées sur l’ensemble de la rue. Ces espaces seront parsemés de nombreux arceaux, les modes doux pourront ainsi y être accrochés.

Il y a plusieurs mois, l’adjoint à la Sécurité Jean-Yves Sécheresse avait promis un tel dispositif pour éviter que des trottinettes traînent sur les trottoirs.

Dans les faits, c’est la municipalité qui a demandé cette installation d’arceaux à la Métropole. Les adjoints de Gérard Collomb qui gèrent le dossier veulent aller « au plus vite ». Le but de l’opération n’est pas « d’avoir des autoroutes à vélo à la hollandaise » d’après eux mais au moins de « dissuader voire interdire » la circulation des véhicules moteur.

De plus, dans les prochains jours, une bande cyclable sera apposée sur l’asphalte de la rue du Président Edouard Herriot. Comme dans le quartier d’Ainay ou dans celui de la Guillotière, les cyclistes et personnes en trottinettes pourront rouler à contre-sens des autres véhicules. Même si la largeur est normalement suffisante pour se croiser sans problème, il n’en est pas de même dès qu’un automobiliste fait un écart sur les voies, par exemple lorsqu’un usager se gare.