Jenny a été aperçue pour la dernière fois à Meyzieu le 4 septembre vers 23h30. Porteuse de cicatrices à l’intérieur du bras gauche, l’adolescente, qui souffre d’anémie et de problèmes psychologiques, est susceptible de fréquenter la cité Barge à Vaulx-en-Velin.

Elle portait au moment de sa disparition un jean noir déchiré, un pull orange, une veste en fourrure marron et des baskets Adidas blanches.

Jenny mesure 1,68 mètres, et est de corpulence fine, avec les cheveux châtain bouclés et des mèches caramel.

Toute personne ayant des informations peut contacter le commissariat de Meyzieu au 04 72 45 12 30 (en semaine) et au 04 78 78 40 40 le week-end.

C’est au tour du quartier de la Guillotière de lancer son association d’habitants excédés par les nuisances sonores et les incivilités. Les Riverains de la Guillotière « se rassemblent et se mobilisent afin de retrouver calme et sérénité ». Selon eux, « ce quartier est devenu tout simplement invivable en raison de l’augmentation effrayante des incivilités sur ce secteur d’habitation ».

Quartier cosmopolite par excellence à Lyon, la Guill’ est aussi le repaire de nombreux dealers et vendeurs à la sauvette. La prostitution est également présente. Et ce ne sont pas les policiers en faction devant la sortie de métro qui font peur aux individus louches de la place du Pont.

Ainsi, ceux qui appréciaient l’ambiance de la Guillotière, ses commerces, sa mixité, déchantent de plus en plus face aux dégradations, à la délinquance et au sentiment d’insécurité qui habitent certaines rues, de jour comme de nuit. Sans oublier les cambriolages de garages et caves en sous-sol.
« Fortes odeurs d’urines, quantité monstrueuse de déchets (dont certains pouvant mettre en danger la santé des habitants, comme les seringues découvertes au sein du Square St Michel citées précédemment), nombreux débris de verre découlant des consommations excessives d’alcool sur les trottoirs… », rapportent encore les membres de Riverains de la Guillotière.

Dans une pétition lancée cette semaine et qui recueille plus d’une centaine de signatures, l’association indique vouloir rencontrer le maire de Lyon et le président de la Métropole, ainsi que le préfet et les maires des 3e et 7e arrondissements. Elle réclame aussi la « fin définitive » du marché sauvage de la place Gabriel-Péri et des trafics de stupéfiants et cigarettes de contrebande, ou encore le « nettoyage fréquent de l’ensemble du quartier de la Guillotière » où s’accumulent parfois déchets et crachats.

La Guillotière en colère aura-t-elle autant de poids que la Presqu’île, à quelques mois des élections municipales ? === C’était un  beau quartier mais devenu invivable avec la racaille !

Outre la colère des automobilistes et surtout des cyclistes, désormais coincés dans les bouchons après la disparition de leur voie, notamment rue du Président Edouard-Herriot, le maire du 2e arrondissement souhaitait révéler ce mardi un nouveau couac de l’équipe de Gérard Collomb.

Selon Denis Broliquier, plusieurs arbustes plantés ont déjà dû être remplacés. La cause avancée par l’élu Les Centristes ? Aucun arrosage n’aurait été effectué depuis leur installation, malgré les fortes chaleurs de ces derniers jours.
« Quel gaspillage ! Je suis prêt à parier que le budget de cette opération électorale dépassera le million d’euros », s’emporte Denis Broliquier dans un post Facebook.

Contactée, la Ville de Lyon dément les informations du maire du 2e. Le service des Espaces Verts a confirmé que quelques arbustes avaient déjà été changés, mais simplement parce qu’ils n’avaient pas bien pris dans leur bac. « Les plantations ont évidemment été arrosées », poursuit la municipalité.

=== C’est nouveau à Lyon. On installe de très grands bac pour y planter de la verdure. Dans l’avenue vers chez moi également.

Ils sont environ 2 000 à emprunter l’axe chaque jour en vélo. Ils doivent désormais se rabattre sur la voie de gauche, initialement prévue pour les automobilistes. Depuis le début du déploiement de la végétalisation, rue Edouard Herriot (Lyon 2e), les bus et les cyclistes voient leur espace dédié être progressivement supprimé.

Entre embouteillages et insécurité, nombreux ne se sentent plus à l’aise sur cet axe et regrettent que la végétalisation n’a pas été installée sur les places de parking. Le collectif « La Ville à Vélo » déplore également la mise en place de ce dispositif et réclament un débat autour de la piétonnisation de la Presqu’île.

VIDEO – https://youtu.be/HMDCKLHsCqg