Série de casses dans la région : six suspects interpellés pour 14 cambriolages

A peine retraité, Tony Parker est engagé par un cabinet de conseil financier américain

Sept gilets jaunes devant la justice pour des dégradations au péage de Villefranche
Ils comparaissaient ce mardi devant le tribunal correctionnel.
Quatre hommes et trois femmes, âgés de 23 à 48 ans, étaient jugés pour des faits de dégradations commises en janvier dernier au niveau de la barrière de péage de Villefranche-sur-Saône. Des caméras avaient notamment été endommagées et de la colle et de la mousse de polyuréthane avaient été mises dans les lecteurs de carte bancaire.
Ils sont poursuivis pour « dégradation de biens en réunion par personnes ayant tout ou partie du visage dissimulé » et pour « participation à un groupe formé en vue de la préparation de dégradation de biens ». Des peines allant de six mois d’emprisonnement avec sursis à neuf mois de prison ferme ont été requises.
La décision sera rendue le 23 juillet.

Les forces de l’ordre étaient sur les dents ce mercredi après-midi entre le Rhône et la Drôme.
Et pour cause, vers 16h, un homme âgé d’une cinquantaine d’années s’est rendu à l’un des guichets de la gare de Lyon Part-Dieu pour indiquer à un agent SNCF qu’il avait placé une bombe dans un TER reliant Lyon à Marseille. Le train était parti à 15h20 de la capitale des Gaules.
L’individu a été rapidement interpellé et placé en garde à vue, l’alerte a été donnée aux autorités qui ont stoppé le train en gare de Tain-l’Hermitage à 90 km de Lyon. Les 250 passagers à bord ont été évacués, l’ensemble des wagons ont été fouillés avec le renfort de chiens détecteurs d’explosifs mais heureusement aucun engin explosif n’a été trouvé.  Entre 7 et 8 trains ont connu des retards dus à l’incident. Une enquête a été ouverte.

Villeurbanne : rodéo urbain avec des scooters non identifiés
Deux adolescents ont été interpellés mardi dernier.
Le 12 mai dernier, ces deux jeunes de 15 et 16 ans se sont percutés rue Léon Blum à l’occasion d’un rodéo urbain. Les adolescents ne portaient pas de casque au moment du choc. Le plus âgé était déjà connu pour 25 antécédents judiciaires.
Interpellés le 18 juin, les deux adolescents ont reconnu les faits. Ils seront présentés au parquet ce mercredi.

Lyon : il mime des tirs devant la synagogue de Lyon gardée par des militaires
Les faits se sont déroulés ce lundi matin, devant la grande synagogue de Lyon, quai Tilsitt dans le 2e arrondissement de Lyon.
Selon la DDSP du Rhône, des militaires en mission de surveillance dans le cadre de l’opération Sentinelle ont été menacés par le passager d’un véhicule. L’individu aurait mimé les tirs d’un revolver avec ses doigts.
Dès le lendemain, le conducteur et son passager âgés de 24 ans, ont été identifiés et interpellés par les enquêteurs sur la commune de Lentilly. L’auteur des menaces, déjà connu des services de police, a reconnu les faits qui lui étaient reprochés, il doit être présenté ce mercredi au parquet. Le conducteur a été laissé libre.Lyon : condamné pour défaut de permis 5 ans après avoir tué un piéton
Cinq ans après avoir tué une quadragénaire sur le pont Wilson à Lyon au volant de sa voiture, après avoir été libéré en conditionnelle, l’homme a été condamné pour conduite sans permis.
Jeudi 6 mai, un contrôle de police a permis d’interpeller l’individu qui conduisait sans permis. Il avait été condamné pour homicide involontaire en février 2018 puis était sorti de prison en libération conditionnelle. Cinq ans plus tôt, il avait ôté la vie d’une femme en grillant un feu rouge, sous l’emprise du cannabis.
Jugé en comparution immédiate pour conduite sans permis ce mardi, l’homme a plaidé qu’il « voulait rendre service » à son frère et qu’il était désolé. Selon la défense, la vie de l’homme s’est arrêtée en 2013 lors de l’accident et il subvient seul aux besoins de sa fille.
Le tribunal a condamné le prévenu à 10 mois de prison. Il a été placé en détention.AIN – Deux corps retrouvés dans une voiture
Les premières constatations orientent l’enquête vers le meurtre de la femme suivi du suicide de son compagnon par arme à feu, ont indiqué mardi les gendarmes.
Deux corps ont été découverts dimanche dans un véhicule sur un chemin isolé de l’Ain, les premières constatations orientant l’enquête vers le meurtre de la femme suivi du suicide de son compagnon par arme à feu, ont indiqué mardi les gendarmes.
Un couple qui était en cours de séparation
C’est un témoin qui a alerté les gendarmes dimanche vers 19 heures près d’Anglefort, dans le Bugey. La disparition du couple, qui était en cours de séparation, avait été signalée en Savoie, précisent les gendarmes, confirmant une information du quotidien régional Le Progrès.

Deux corps découverts dans une voiture dans l’Ain

Selon les dernières données du gouvernement, près de 220.000 femmes ont subi des violences conjugales en 2017 et 130 sont mortes tuées par leur conjoint ou ex-compagnon. Le collectif « Féminicides par compagnons ou ex » en recense 65 depuis le début de l’année.