Avec le « Lyon E-sport », un évènement annuel d’envergure mondiale, la capitale des Gaules est un bastion dans le monde de la compétition de jeu-vidéo. Cette discipline est de plus en plus reconnue et elle est en train de s’imposer comme un sport majeur suivi par des millions de spectateurs.

C’est la raison pour laquelle Tony Parker s’est associé à LDLC pour intégrer un département dédié au sein de son académie dans le 7^e arrondissement de Lyon.

L’entreprise lyonnaise d’informatique est déjà un acteur important sur la scène du gaming puisqu’elle possède une équipe professionnelle, plusieurs fois championne de France et d’Europe sur des jeux comme Counter Strike ou League of Legends.

« L’académie est faite pour ça »

Lors de la conférence de presse annonçant le projet ce mardi, Tony Parker est revenu sur le rôle de son école et pourquoi l’e-Sport y a sa place : « C’était logique de faire de l’e-Sport ici. Notre mission est d’accompagner les jeunes à évoluer à travers leur passion tout en leur garantissant un travail en cas d’échec. L’académie est faite pour ça. »

Xavier Lucas, président délégué de la TP Adequat Academy, précise que « ce n’est pas une école pour apprendre à jouer aux jeux-vidéo, mais pour accompagner les joueurs et encadrer la discipline. »

LDLC comme ambassadeur du e-sport français

Avec son équipe pro, LDLC fait grandir ce sport en France. Le groupe a pour ambition d’associer son nom à la pratique. « Comme BNP Paribas pour Roland Garros, nous voulons que LDLC soit synonyme d’e-sport » déclare Laurent de la Clergerie, PDG et fondateur du groupe. « C’est déjà le cas, beaucoup de jeunes connaissent l’équipe avant de connaitre l’entreprise !« , se réjouit-il.

Un projet ambitieux, un combat contre le décrochage scolaire et une volonté de faire vivre les jeunes de leur passion sont les mots clés de la Tony Parker Adequat Academy.

Le campus accueillera ses premiers étudiants à la mi-août dans le quartier de Gerland à Lyon.

Tony Parker rachète la station de Villard-de-Lans

Tony Parker – LyonMag

Ce lundi, le basketteur français Tony Parker a signé le rachat de la SEVLC, la société d’équipement de Villard-de-Lans et de Corrençon-en-Vercors qui gère notamment les 22 remontées mécaniques du domaine et deux restaurants.

Après un an de négociations la légende du basket-ball français s’est rendu sur place pour finaliser la reprise de la station iséroise.

Le président de LDLC ASVEL a notamment comme objectif de développer l’activité d’été de la station. Néanmoins, on ne sait pas encore quels seront les changements opérés pour les skieurs qui viennent essentiellement en famille.

Attendu dans le courant de cette année devant les assises du Rhône, ce nouveau procès n’aura pas lieu « avant février ou mars 2020 ». C’est ce qu’ont annoncé ce lundi les avocats de la mère de la petite Fiona.

Le couple a déjà comparu à Riom en première instance puis deux fois au Puy-en-Velay. La Cour de Cassation avait finalement cassé le dernier verdict en appel (20 ans de prison pour Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner) en raison d’irrégularités constatées dans le dossier. Depuis, la mère de la petite Fiona a été libérée.

Le père de la fillette espère de son côté toujours obtenir des réponses sur les circonstances du drame remontant à 2013 à Clermont-Ferrand. Et surtout la localisation du corps, enterré par le couple de l’époque Bourgeon-Makhlouf. Les deux suspects n’ont jamais pu s’accorder sur une même histoire face aux enquêteurs puis aux juges.

Ce mardi soir, H7 sera officiellement inauguré dans le quartier de la Confluence. C’est l’aboutissement de longues années de gestation pour le lieu totem de la Lyon French Tech. L’ancienne Halle Girard est donc prête pour accueillir les start-ups : « On a voulu un système de proximité avec nos entrepreneurs. On les rencontre systématiquement pour savoir ce dont ils ont besoin en termes d’accompagnement », explique Cédric Denoyel.

H7 est encore loin d’être plein. « On essuie les plâtres, on vient d’avoir les clés. On préfère avoir moins d’entreprises au départ si jamais Internet ou les imprimantes ne marchaient pas », poursuit le président du lieu dont la capacité est de 70 entreprises qui peuvent obtenir un poste de travail contre 250 à 350 euros.

Comme nous le révélions récemment, H7 va également agrémenter ses fins de mois en faisant de l’évènementiel. « On est à des tarifs totalement dans le marché. La location de la salle se fait entre 6000 et 7000 euros. Pour privatiser H7 pour un cocktail de 200 personnes, ça coûtera entre 25 et 30 000 euros », indique Cédric Denoyel.