Dimanche 14 avril
Vous pouvez lire et laisser des commentaires au bas de cette page sur comments
Jean-Pierre
Salut les amis ça va bien la flotte est prévue pour les prochains jours on verra bien. Tranquille ici en ce moment rien de spécial à signaler Bonne semaine Sainte à tous! OK je file le devoir m’appelle merci de votre visite on se reparle à plus tard, bye!
Météo Médias
Cliquez le soleil
Cliquez le camion
Cliquez la porte
Semaine Sainte
2018
France
Gilets jaunes, acte XXII : l’hypercentre fermé, c’est la place Antonin qui était prisée
Photo d’illustration – LyonMag.com
Malgré l’interdiction, certains gilets jaunes ont tenté de se rendre place Bellecour.
Le périmètre habituel étant bouclé, les gilets jaunes ont (un peu) innové. Mais au final, l’acte XXII des gilets jaunes a eu le droit à ses chants et ses échanges, parfois musclés, avec les forces de l’ordre.
Un premier cortège, manifestant contre la récente loi anticasseurs promulguée, est parti à 13h30 de la place Louis Pradel. Composé de 450 personnes, ils sont partis en direction de la place Antonin Poncet rejoindre le mouvement des gilets jaunes. Au départ de l’acte XXII, ils sont environ 500, accompagnés par une vingtaine de motards.
À 15 heures, les manifestants étaient quai Claude-Bernard où ils bloquaient le tramway T1, puis le T2 sur l’avenue Berthelot. Ils sont alors un millier à défiler. Les premiers incidents interviennent à Saxe Gambetta, où un abribus est cassé et des distributeurs à billets endommagés. Les forces de l’ordre suivent le cortège de près.
Les premiers gaz lacrymogènes éclatent près de l’Hôtel Dieu, vers 16h15. Les gilets jaunes tentent alors de pénétrer dans l’hypercentre, en vain. Ils tentent de se diriger vers la Croix-Rousse, mais ils sont bloqués place Croix-Paquet où des incidents émaillent.
Certains gilets jaunes, téméraires, ont quand même réussi à se rendre place Bellecour. Le cortège, lui, se heurte régulièrement au cordon policier, où les noms d’oiseaux prolifèrent, tout comme les gaz lacrymogènes. Le mouvement se termine là où il a commencé, place Antonin-Poncet. Après quelques tensions, la foule a fini par se disperser. Trois personnes au moins ont été interpellées durant l’après-midi.
Affaire Neyret : extradé d’Israël, Stéphane Alzraa a été écroué à Lyon
Stéphane Alzraaa – DR
Le suborneur du commissaire Neyret doit être jugé pour évasion et escroquerie.
Il avait deux mandats d’arrêt sur son dos. Extradé d’Israël où il s’était réfugié avant d’y être arrêté, Stéphane Alzraa a été placé sous mandat de dépôt dès le premier pied posé à Lyon. Considéré comme étant à l’origine de la corruption de Michel Neyret, l’homme est poursuivi pour escroquerie et depuis le procès en 2015 pour évasion. L’homme avait alors profité d’une permission de sortie pour s’évader et échapper au procès.
Ce vendredi, devant la cour d’appel de Lyon, l’escroc a affirmé vouloir « revenir à une vie normale ». Son avocat, qui conteste les conditions d’extradition, a demandé la remise en liberté de son client.
Pour rappel, Stéphane Alzraa est considéré comme étant le suborneur du commissaire Neyret. En 2018, il a été condamné par la cour d’appel de Paris à 30 mois de prison et 250 000 euros d’amende pour corruption.
18 ans de réclusion criminelle pour un paranoïaque ayant tué sa femme
Photo d’illustration – LyonMag.com
La peine est accompagnée, entre autres, d’un suivi sociojudiciaire de 15 ans à compter de la date de libération du quinquagénaire.
Sa démence est telle qu’il a l’interdiction de rentrer en contact avec le médecin l’ayant diagnostiqué. Ce vendredi, un homme de 56 ans a été condamné par la cour d’assises à une réclusion criminelle de 18 ans pour le meurtre de sa femme en février 2015.
Ce jour-là, l’homme a tué de sang-froid et avec une violence sans nom sa femme, alors âgée de 46 ans, dans le 9e arrondissement de Lyon. Qualifié comme étant extrêmement dangereux par les experts, il avait tenté d’étranger sa précédente femme huit ans auparavant.
Un homme « gravement malade »
Cet ancien chauffeur de bus souffre d’une paranoïa délirante qu’il refuse d’avouer. Il explique ses douleurs à une colposcopie passée, quelques mois avant le drame. Il accuse ainsi le chirurgien l’ayant traité d’être à l’origine de ses maux.
La vérité semble toute autre. Pour expliquer le meurtre, le quinquagénaire justifie parfois son acte par la maladie, parfois par jalousie, alors que sa victime faisait tout pour lui venir en aide. L’avocat a évoqué un homme « gravement malade », espérant ainsi atténuer la peine.
Alors que le ministère public a requis 20 ans de réclusion criminelle, la cour n’a que très légèrement abaissé cette peine. Les 18 ans prononcés ne sont qu’une simple étape. Le condamné devra ensuite suivre un traitement sociojudiciaire pendant 15 ans afin de prendre un traitement « absolument nécessaire » selon la cour. L’homme a l’interdiction de détenir ou de porter une arme et de rentrer en contact avec le médecin l’ayant diagnostiqué.
Coucou !
avril 14th, 2019 at 13 h 09 mintrès froid ce matin et du vent fort et froid; pourtant, il vient du sud.
Promenade avec mes visiteurs. Aujourd’hui, Fourvière et les places de Lyon.
Les beaux immeubles de Lyon leurs ont plu.
Petite beauté patauge dans le vide !
Allo Monique ici 9 degrés et nuageux. Incendie cet après-midi possiblement criminel à une quarantaine de km de Québec.
avril 14th, 2019 at 16 h 29 min